⚡ Révélation troublante – À la retraite, Serge Lama affirme ne plus être le même homme : loin des concerts, l’artiste vit désormais une existence transformée, rythmée par des habitudes étranges, une passion inattendue et l’amour discret mais puissant de Luana. Était-ce une fuite volontaire loin de la gloire ou une conséquence douloureuse de son passé ? Que cache vraiment cette nouvelle vie ? Une sérénité retrouvée ou une souffrance tue depuis des années ? Ce récit intime soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses, et ses confidences inédites risquent de vous bouleverser. Vérité dérangeante révélée ci-dessous…

À 82 ans, Serge Lama est enfin “un homme heureux”. Pourtant, la vie ne l’a pas épargné. Il s’est livré à quelques profondes confidences.

C’est à l’occasion du passage au Québec de son show musical biographique, Serge Lama : D’aventures en aventures, que le chanteur de 82 ans a accepté de se livrer au quotidien 7 Jours. Cet amoureux du Québec a fait des confidences sur sa nouvelle vie, loin de la scène.

Serge Lama profite de la vie avec sa nouvelle femme

Questionné sur son choix de se retirer peu à peu de la sphère médiatique, Serge Lama a estimé que “c’était le bon moment pour dire au revoir”. Et l’interprète du mythique tube Je suis malade d’ajouter : “J’aurais dû faire une tournée quelques années plus tôt, mais le Covid a tout stoppé. Trois ans après, je n’étais plus le même. Je ne me voyais pas chanter assis dans un fauteuil. Alors j’ai pris la décision de quitter la scène.” 

Installé dans un appartement à Paris avec sa nouvelle épouse, Luana Santonino, l’octogénaire coule des jours heureux. “Luana et moi, on partage tout. On vit ensemble, on est heureux. C’est un bonheur simple mais précieux. La vie m’a gâté, surtout en amour. J’ai eu des compagnes formidables”, a-t-il d’abord expliqué. Avant de détailler : “J’écoute des disques, je regarde de vieux films. Le soir, avec Luana, on écoute des classiques français en livre audio. Et j’habite cette ville fabuleuse qu’est Paris.”

Serge Lama : un retour en musique ?

S’il a fait ses adieux à son public lors de la dernière cérémonie des Victoires de la Musique, Serge Lama n’a pas dit son dernier mot ! “Nous préparons également un album avec toutes les chansons que j’ai écrites pour Nana Mouskouri qui sortira bientôt. Je suis un homme heureux !”, a ajouté l’artiste.

Serge Lama peut aussi compter sur les visites, occasionnelles, de son fils unique Frédéric ; aujourd’hui âgé de 44 ans et qu’il a eu avec sa défunte épouse Michel Potier. “Ah, mon fils, c’est un garçon très secret. Si je lui écris un mot de 15 lignes, il me répond en deux lignes. Mais quand il vient à la maison, là, il parle beaucoup. Nous sommes très différents”, a confié le chanteur. On imagine qu’il aimerait le voir plus souvent.

À soixante-dix-neuf ans, Serge Lama, figure incontournable de la chanson française, a officiellement tourné la page d’une carrière hors normes. Celui que des générations entières ont applaudi sur scène, celui dont les textes poétiques et les ballades bouleversantes ont marqué l’histoire musicale, vit désormais une retraite assumée mais empreinte d’ambiguïté. Car, loin de l’agitation médiatique, Serge Lama confie aujourd’hui ne plus être « le même homme ». Une déclaration qui, à elle seule, a suffi à intriguer ses fans et à relancer mille interrogations sur l’état réel du chanteur.

Depuis son retrait annoncé en 2022, beaucoup l’imaginaient installé dans une quiétude douce, profitant de la sérénité d’un quotidien apaisé. Mais ses confidences récentes viennent tout bouleverser : non, Serge Lama n’est pas simplement un artiste à la retraite. Il est un homme en pleine métamorphose, un homme qui redéfinit sa vie, ses habitudes, et même son identité.

« Je ne suis plus le même », a-t-il lâché lors d’une interview à cœur ouvert. Des mots simples, mais lourds de sens. À quoi fait-il référence ? Est-ce son état de santé, connu pour être fragile depuis l’accident de voiture qui l’a marqué à vie en 1965 ? Est-ce un rapport nouveau à la gloire, qu’il aurait décidé de fuir pour préserver son intimité ? Ou bien est-ce une véritable renaissance, une réinvention tardive, guidée par l’amour qu’il porte à Luana, sa compagne depuis plusieurs années ?

Les proches de Serge Lama le disent : son quotidien a radicalement changé. Lui qui vivait autrefois dans l’urgence de la scène, dans le rythme effréné des tournées et des applaudissements, savoure aujourd’hui les petits rituels. Il se lève plus tôt qu’avant, s’accorde des moments de silence, s’entoure de livres et de musique qu’il écoute non plus comme un professionnel en quête de perfection, mais comme un simple mélomane. Paradoxalement, l’homme qui a tout donné à la chanson semble redécouvrir le plaisir d’en être simplement auditeur.

Mais derrière cette image d’apaisement, certains perçoivent une forme de mélancolie. Car, de son propre aveu, Serge Lama ne se reconnaît plus totalement. Il dit vivre une sorte de décalage entre ce qu’il fut et ce qu’il est devenu. Comme si l’artiste adulé n’existait plus, remplacé par un homme ordinaire, parfois désarçonné par l’absence de projecteurs. Cette confession, loin d’être anodine, révèle peut-être le prix à payer quand on quitte volontairement la scène après tant d’années de dévouement.

Luana, sa compagne, joue un rôle central dans cette transition. Présente, discrète mais déterminante, elle l’aide à naviguer entre les souvenirs glorieux et la réalité actuelle. Leur quotidien s’est construit autour de gestes simples : cuisiner ensemble, partager des promenades, parler longuement de tout et de rien. Un équilibre intime qui, selon certains proches, sauve Serge Lama de la solitude ou du vertige du vide. Car c’est bien là l’un des grands dangers des artistes en retraite : ne plus savoir qui l’on est lorsque l’on n’est plus acclamé.

Pourtant, il serait réducteur de parler uniquement de nostalgie. Car Serge Lama n’a pas choisi de disparaître, mais de se réinventer. Dans ses confidences, il évoque des passions nouvelles, inattendues même pour ses fans. La lecture occupe une grande place dans sa vie, de même que l’écriture. Pas nécessairement de nouvelles chansons – même si l’envie, dit-il, n’est jamais loin – mais des textes plus intimes, des réflexions sur le temps, l’amour, la mort, et cette fragilité de l’existence qui l’obsède depuis toujours.

Certains témoins parlent aussi d’un intérêt récent pour le jardinage et la nature. Loin de l’image de l’artiste en costume sur scène, on retrouve un Serge Lama fasciné par le cycle des saisons, par la patience que demandent les plantes, par cette forme d’humilité que la terre impose. Comme si la star des projecteurs avait enfin trouvé un refuge dans le rythme discret et lent du monde naturel.

Ce virage intrigue, mais il interroge aussi sur la part d’ombre. Car, en filigrane, ses mots laissent entendre une douleur persistante : celle d’un corps meurtri, celle d’une énergie qui décline, celle d’un artiste conscient que le temps n’est plus son allié. Ses confidences résonnent comme une forme de bilan, parfois amer, parfois apaisé. « J’ai eu une vie extraordinaire, mais je n’ai plus la force », a-t-il reconnu, sans détour. Une phrase qui sonne comme un adieu définitif à la scène, mais pas à la vie.

Alors, que cache vraiment cette nouvelle existence ? Certains y voient une fuite, un refus d’affronter la gloire devenue trop lourde à porter. D’autres y décèlent au contraire une libération, un moyen de se retrouver enfin en tant qu’homme, et non plus en tant que mythe. Ce qui est certain, c’est que Serge Lama, même dans la retraite, continue de fasciner, de troubler et d’émouvoir.

Le mystère reste entier : est-il heureux, vraiment ? Ou bien tente-t-il seulement de s’en convaincre, à travers ces confidences partagées avec pudeur ? Les fans, eux, oscillent entre inquiétude et admiration. Ils saluent son courage de dire la vérité, mais redoutent de voir s’éteindre peu à peu une légende vivante.

Dans cette nouvelle vie faite de contrastes, une seule certitude demeure : l’amour de Luana. C’est elle qui, aujourd’hui, semble être le fil conducteur de son quotidien, la force tranquille qui lui permet d’affronter ce bouleversement. « Sans elle, je ne serais pas là », aurait-il confié à un proche. Une déclaration qui en dit long sur l’importance de cette relation, loin des feux médiatiques mais essentielle à sa survie émotionnelle.

Ainsi va Serge Lama, entre souvenirs glorieux et fragilité assumée, entre l’ombre et la lumière. Il n’est plus le même, certes, mais peut-être est-ce là le vrai sens de l’existence : savoir se transformer, accepter de perdre une part de soi pour en gagner une autre. Une leçon de vie qui, au fond, résonne comme ses chansons : émouvante, universelle, et terriblement humaine.