Alors que Jean Imbert est accusé de violences conjugales, Le Figaro révèle des SMS envoyés par Alexandra Rosenfeld qui rendent l’affaire complexe.

© Denis Guignebourg / BestimageJean Imbert, le chef star qui a fait vibrer la France et les plateaux télé, se retrouve au centre d’une affaire explosive. Quatre anciennes compagnes l’ont accusé de violences — dont Alexandra Rosenfeld, Miss France 2006, et Lila Salet, qui a déposé plainte pour violences conjugales et séquestration.

Selon des éléments auxquels Le Figaro dit avoir eu accès, le dossier est loin d’être linéaire et révèle une affaire complexe, faite de violences alléguées mais aussi de témoignages contradictoires. Le quotidien rapporte notamment que Lila Salet a confirmé avoir porté plainte et raconté des épisodes traumatisants durant leur relation.

Jean Imbert accusé de violences : ces SMS troublants envoyés par Alexandra Rosenfeld

De son côté, Alexandra Rosenfeld, qui s’était d’abord confiée anonymement à Elle, a levé l’anonymat et publié des documents médicaux — elle évoque un coup de tête ayant provoqué une fracture du nez, mais insiste surtout sur l’emprise psychologique : silences, rabaissements, manipulations. Pour elle, certains SMS très durs envoyés à Jean Imbert n’étaient pas de la “violence gratuite” mais une façon de le “repousser” après la rupture.

Comme l’a révélé Le Figaro, elle lui aurait envoyé des SMS comme : “J’ai vu que tu étais inexistant ou casse-c… et à part des coups et de l’indifférence j’ai rien à te donner“, “T’es juste pas violent parce que tu sais que je suis pire“, “La prochaine fois que tu me dis que je t’aime je te casse toutes les dents.” Du côté de la défense, l’entourage du chef nie et avance des éléments contraires : selon ses avocates, il existerait des attestations et témoignages — y compris de deux hommes — décrivant des épisodes où Alexandra Rosenfeld aurait eu un comportement agressif envers Jean Imbert.

Jean Imbert accusé de violences : une enquête ouverte

Mais une source proche de la compagne d’Hugo Clément assure qu’”elle n’a jamais été violente”. Alors, dans cette histoire, qui dit la vérité ? L’affaire, étalée dans la presse révèle un faisceau d’accusations croisées. D’un côté, des femmes qui racontent humiliation et coups ; de l’autre, l’accusation de « violence réactionnelle » et des témoins apportant un autre récit. La justice a ouvert une enquête préliminaire, et Jean Imbert s’est placé en retrait de ses établissements.