Sur Instagram, ce lundi, Laura Smet a partagé une photo souvenir des vacances qu’elle passait avec son père à Saint-Tropez. Photo sur laquelle Johnny Hallyday apparait à la barre de son bateau, le Wild Eagle II.

Souvenirs, souvenirs. D’humeur nostalgique, lundi 21 juillet 2025, Laura Smet a partagé sur Instagram une photo d’archive de ses étés à Saint-Tropez, avec Johnny Hallyday. Photo aux couleurs passées sur laquelle elle apparait, enfant, à bord du Wild Eagle II,

bateau mythique du rocker, un magnum 70 de vingt mètre de long, juste derrière son père à la barre.

« Août. Quand on partait en bateau avec mon père », a écrit la fille de Nathalie Baye en légende du cliché qui doit dater du début des années 1990. Des vacances rock’n’roll, comme les balades en Harley qu’elle faisait avec son père.
Laura Smet : souvenir de Saint-Tropez avec son père Johnny Hallyday © Instagram / Laura Smet
Amoureux de Saint-Tropez, Johnny Hallyday passait presque tous ses étés sur la Côte d’Azur. Il y avait même fait construire une villa à la fin des années 1980. Villa de plus de 700 mètres carrés, avec une immense piscine avec fontaines, cascades et bains à remous, qu’il avait baptisée « La Lorada » – contraction des prénoms de ses deux aînés, David Hallyday, né de sa relation avec Sylvie Vartan, et Laura Smet, fruit de ses amours avec Nathalie Baye. Lieu de repos, la demeure était aussi pour le rocker un espace d’inspiration et de création.

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« La Lorada », le paradis perdu de Johnny

En 1995, c’est à « La Lorada » que Johnny Hallyday a enregistré l’album qui porte le nom de la villa, écrit en partie par Jean-Jacques Goldman, porté par les tubes « J’la croise tous les matins » ou encore « Ne m’oublie pas ». Mais, au début des années 2000, le rocker – décédé en 2017 à l’âge de 74 ans – a dû se séparer de son havre de paix et de musique. En conflit avec sa maison de disque Universal Music, qui avait officieusement acquis la villa, il a été obligé de se séparer de son bien (aimé). Mise en vente à près d’un million d’euros, « La Lorada » n’a trouvé preneur que dix ans plus tard.