Il y a un tout petit plus d’un an, l’icône du cinéma français Alain Delon est mort. Quelques jours après ce triste anniversaire, un rebondissement vient d’avoir lieu concernant son héritage. Et c’est son fils Alain-Fabien Delon qui est en est à l’origine.

Alain Delon n’est plus et entre ses enfants, les rapports risquent de devenir compliqués à cause des questions d’héritage. Mort le 18 août dernier, l’icône française a légué 50% de sa fortune à sa fille Anouchka et 25% à chacun de ses fils, Anthony et Alain-Fabien. Un héritage estimé à 50 millions d’euros avant le paiement des droits de succession et un possible redressement fiscal – selon RTL, les trois enfants d’Alain Delon se seraient acquittés d’environ 20 millions de droits de succession exigés par le fisc.
Alain-Fabien Delon a pris une grande décision

Mais voilà que nous apprenons aussi grâce à la célèbre station de radio qu’Alain-Fabien Delon- devenu récemment papa – a entamé une procédure devant le tribunal judiciaire de Paris afin de tenter d’obtenir l’annulation du testament de son père. Ainsi assigne-t-il sa sœur Anouchka, son demi-frère Anthony et les trois exécuteurs testamentaires chargés de veiller à l’exécution du testament d’Alain Delon. Une date d’audience a même déjà été posée, celle-ci aura lieu le 9 mars 2026. Selon l’avocate du cadet des enfants de la star, Alain-Fabien Delon estime qu’”Alain Delon ne disposait plus du discernement suffisant“, quand il a rédigé son dernier testament en date du 24 novembre 2022. “Celle-ci demande à la justice française de prononcer l’annulation de ces actes dont son client n’a découvert l’existence qu’après le décès de son père’ ainsi que l’annulation de la donation en date du 22 février 2023 en faveur de sa sœur Anouchka“, précise RTL.

Un conflit entre la fratrie risque donc de débuter alors que les mots d’Anthony, datant du début de l’année 2024, résonnent encore : “La succession elle est réglée, les problèmes d’argent, il n’y en a pas, tout est acté (…) C’est très simple : ma soeur, elle a 50 % de toute la fortune de mon père, mon frère et moi, on a, ce qu’on appelle, la part de réserve, donc on a 25 % chacun. C’est acté, c’est terminé, c’est fini, donc il n’y a pas de conflit. Il n’y a pas de guerre d’héritage.” Quelques mois plus tard, il ajoutait : “J’ai demandé à mon avocat la semaine dernière d’accepter toutes les conditions de partage, toutes les conditions financières qui avaient été demandées par mon père. Je serai totalement transparent là-dessus, parce que je ne peux pas permettre qu’on me fasse passer pour ce que je ne suis pas (…) Je serai transparent et j’apporterai des preuves, s’il le faut, mais en tout cas, en ce qui me concerne, tout est acté.”