Après quinze ans de relation avec Julie Depardieu, Philippe Katherine lui rend un hommage touchant en chanson et révèle sa réaction.

Philippe Katerine et Julie Depardieu forment l’un des couples les plus solides du show-business français. Ensemble depuis près de quinze et parent de deux petits garçons, ils sont inséparables. Interrogé cette semaine par le magazine Gala, Philippe Katerine se confie sur cette vie de famille, et sur l’influence de sa femme dans ses chansons. L’artiste a d’ailleurs profité de la sortie de son dernier album, Zouzou, pour faire une déclaration d’amour à sa femme, à travers le titre Dormir en cuillère.

Julie Depardieu : “Je ne croyais plus du tout à l’amour…”

Il révèle en interview la réaction de Julie Depardieu lorsqu’elle a écouté le titre pour la première fois : “Quand elle a écouté la chanson, elle m’a dit : ‘Ça donne envie de vivre cette vie’, et cette vie, c’est la nôtre.” Il explique ensuite les paroles de sa chanson : “On se laisse aller au quotidien qui se déploie, il y a une notion de confiance… Après, qui est derrière, qui est devant ? C’est tout l’intérêt de la chose. Moi, j’aime bien qu’il y ait quelqu’un derrière. J’ai envie d’être protégé”. Une déclaration très touchante envers la fille de Gérard Depardieu, qui s’était, elle aussi, confiée à Gala il y a quelques années : “Quand on s’est rencontrés, avec Philippe, je ne croyais plus du tout à l’amour… C’est l’inespéré.”

Philippe Katerine constamment inspiré par sa femme

Mais il n’y a pas que cette chanson qui fait honneur à son histoire avec Julie Depardieu. Alors qu’il est invité dans l’émission C à Vous en décembre 2024, à l’occasion de la sortie de son album Zouzou, le journaliste Pierre Lescure avait fait remarquer : “Une bonne partie de votre famille qui défile au micro sur cet album, dont vos fils Billy et Alfred. Il y a quand même une absente de marque : Julie Depardieu n’a pas sa chanson.” Philippe Katerine a alors répondu, avec tendresse : “Oh ben, je parle tout le temps d’elle dans les chansons. Entre les lignes bien sûr”.