À l’affiche de la série “Surface”, diffusée ce lundi 1er septembre sur France 2, Laura Smet s’est livrée dans le podcast Fenêtre sur corps de “L’Équipe”. L’actrice de 40 ans, 56 kilos pour 1m70, y évoque son rapport au sport, à la sérénité et à un nouveau régime alimentaire plus équilibré, qui participe aujourd’hui à son bien-être physique et mental.

Dans le podcast Fenêtre sur corps de L’ÉquipeLaura Smet s’est confiée sans détour sur son rapport à l’alimentation, au sport et au bien-être. L’actrice de 40 ans, qui affiche 56 kilos pour 1m70, explique avoir profondément modifié ses habitudes de vie, avec un mot d’ordre : écouter son corps. “Dans la vie de tous les jours, je fais du sport quatre, cinq fois par semaine, je fume pas, je bois pas d’alcool, j’essaye de dormir un maximum, je ne mange plus de viande aussi depuis un an. J’essaye de me faire du bien, d’écouter mon corps.”

Le choix du végétarisme donc, motivé autant par des raisons de santé que par une sensibilité nouvelle. “J’ai arrêté de manger de la viande rouge depuis maintenant un an et demi, j’en suis incapable, j’aime évidemment les animaux, mais c’est surtout que ça ne passe plus. Il y a un moment donné, où je n’arrive plus à avaler de la viande. Depuis que je suis maman, je n’y arrive plus, je pense que c’est animal. Je me sens beaucoup mieux et même physiquement y’a plein de monde qui me dit : “Ah tu as bonne mine”. Oui, je me sens beaucoup mieux depuis que je ne mange plus de protéine animale. Mais je mange des œufs par exemple. Je ne suis pas végan à 100% mais tout ce qui est viande rouge je ne peux plus.”


Les bienfaits de l’alimentation végétale
Un témoignage qui rejoint les nombreuses études scientifiques vantant les bienfaits d’une alimentation plus végétale. Selon la Fondation Recherche cardio-vasculaire, les régimes riches en fruits, légumes, légumineuses et céréales complètes contribuent à réduire les risques d’obésité, de diabète de type 2, de certains cancers et surtout de maladies cardiovasculaires. Une analyse parue en 2023 dans European Heart Journal a confirmé qu’un régime centré sur les plantes permet de réduire en moyenne de 10 % le mauvais cholestérol et de 7 % le risque de maladies cardiaques après cinq ans.

Au-delà de la santé, celle qui est adepte d’une pratique venue d’Amérique du Sud souligne également l’impact psychologique de ce changement. Son mode de vie équilibré – yoga, pilates, sport régulier – se reflète dans son quotidien de comédienne, où le corps est un outil de travail essentiel. “J’ai pris conscience de ce métier d’actrice, de tout ce que ça implique, et du fait que l’on peut vivre beaucoup mieux et beaucoup plus sereinement en adoptant un mode de vie sain.”


Une discipline nécessaire à son métier d’actrice
Cette discipline lui a d’ailleurs permis de relever de nouveaux défis. À l’affiche de la série Surface, disponible sur France.tv depuis plusieurs semaines, l’actrice a tourné des scènes aquatiques impressionnantes, jusqu’à neuf mètres de profondeur dans les studios Lites, près de Bruxelles. Un rôle exigeant, à la hauteur de sa préparation physique et mentale. La série sera diffusée ce lundi 1er septembre et marque une nouvelle étape dans la carrière de la fille de Johnny Hallyday et Nathalie Baye.

À travers ses confidences, Laura Smet illustre une tendance de fond : celle d’artistes qui choisissent de réinventer leur rapport au corps et à l’alimentation, non par contrainte, mais par conviction et bien-être. Un message inspirant, qui rejoint les recommandations médicales actuelles : plus de végétal, moins de viande rouge, pour une vie plus saine… et possiblement plus longue.