L’heure de la revanche a sonné ! Un an après sa première participation au jeu Les Traîtres, Frédérique Bel n’a pas dit son dernier mot. À la surprise générale, elle fait son grand retour dans le programme diffusé à partir de ce mardi 2 septembre sur M6. Le chanteur Yanns n’a pas hésité à sacrifier Christine Bravo pour que la comédienne puisse intégrer la partie. «Je suis très contente. Je rentre dans le jeu grâce à ce jeune homme fougueux qui vient me libérer. Je trouve qu’il y a un côté très romanesque», a-t-elle confié face aux caméras. En rejoignant les autres candidats, Frédérique Bel n’a pas tardé à mener l’enquête pour démasquer les traîtres.

Lors d’une réunion dans l’un des salons du château de Bournel, l’actrice a fait part de ses soupçons à l’égard de Marlène Schiappa. Une déclaration qui a surpris la principale intéressée. «C’est n’importe quoi ! Il ne s’est littéralement rien passé ! Comment cela peut devenir une évidence ?», s’est défendue l’épouse de Matthias Sauvignac. Ce à quoi lui a répondu Frédérique Bel : «À mon niveau, c’est juste parce que tu n’enquêtes pas et que tu ne nous as lâché personne». Pour l’ancienne Ministre, cette attaque est tout simplement «gratuite». «On a échangé dix mots dans la journée, tu n’en sais rien !», a-t-elle alors enchaîné. Avant de dévoiler sa stratégie : «Pour l’instant, j’ai dit que j’observais les incohérences. J’enquête mais de manière subtile. Je reste ‘no profil’, j’ai mes indices et j’ai besoin d’un peu de temps pour les mettre les uns en face des autres». Un argumentaire qui n’a absolument pas convaincu la star du film Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu. «Marlène, j’ai vu que je l’avais un peu démasqué quand même. Elle était très mal à l’aise. Le côté, je t’enfume et je te parle pendant des heures, ça me gonfle», a-t-elle confié face caméra. Avant de faire part de son agacement vis-à-vis de la mère de famille : «J’ai envie de lui mettre des claques. En plus, ce n’est pas parce qu’on fait de la politique qu’on ne peut pas être attaquée». Ambiance, ambiance…

Marlène Schiappa, cette remarque cash de Christine Bravo : «Une femme politique, ça ment»

Avant d’être la cible de Frédérique Bel, Marlène Schiappa n’a pas été épargnée par Christine Bravo. Alors qu’elle prenait place dans le bus et faisait la connaissance de ses camarades, l’ancienne ministre chargée de l’Économie solidaire a reçu une petite pique de la part de l’animatrice. «Alors, on sait qui va être traître !», a-t-elle lancé, avec malice. Avant de poursuivre, en s’adressant à la meilleure amie d’Anaïs Lunet : «C’est obligé ! Une femme politique, ça ment.»

Loin d’être décontenancée par la petite pique de l’amie de Laurent Ruquier, Marlène Schiappa n’a pas tardé à contre-attaquer. «Évidemment ! Comme les acteurs et les hommes de télé», a-t-elle riposté. Si elle ne s’attendait pas à une telle répartie, Christine Bravo était bien déterminée à avoir le dernier mot. «Un peu plus, un peu plus», a-t-elle répliqué. Ce à lui a répondu l’ex-ministre chargée des Droits des femmes. «Ça se vaut, mais ça se voit un peu plus». Christine Bravo semble avoir trouvé une adversaire de taille.