❤️ Samuel Le Bihan : un portrait touchant d’un acteur complexe, dont la vie est rythmée par la passion du cinéma et un amour profond pour sa famille. Derrière la célébrité, un homme réservé qui place ses proches au cœur de son univers. Explorez les moments forts de son parcours, ses valeurs intimes, et sa façon unique de concilier carrière et vie privée. Une immersion émouvante qui révèle une personnalité riche et attachante.

Ses relations avec sa mère, ses enfants ou sa nouvelle compagne, Samuel Le Bihan se confie sur sa vie privée.

Samuel Le Bihan qu’on a pu voir dans Ils étaient dix, l’actuel interprète d’Alex Hugo, une série à succès sur France 3, est un homme plus complexe qu’il n’y paraît. Comme son personnage de fiction, c’est un homme “qui d’apparence peut sembler fort, mais qui a ses propre démons, ses fragilités, ses faiblesses”. Sa vie sentimentale mouvementée avec trois enfants nés de trois mères différentes, une idylle naissante, son enfance qui n’était pas “apaisée”, ses relations compliquées avec son fils dépeint un acteur connu mais dont on ne sait que peu de choses.

Ses premiers cachets, Samuel Le Bihan les utilise pour gâter sa mère

L’acteur, comme beaucoup de ses confrères, a connu des débuts compliqués avec des difficultés d’argent pour payer ses cours de théâtre. Heureusement, sa mère a toujours cru en lui. Elle n’était pas très riche, mais comme l’affirme Samuel Le Bihan : “Elle a toujours cru en moi”. Cette confiance et ce soutien lui ont permis de vivre en faisant le métier dont il rêvait. Il ne l’a jamais oublié et avec ses premiers émoluments, il a décidé de lui offrir une maison. C’est ce qu’il a dit dans le podcast Parents d’abord : “J’ai grandi en banlieue, je voulais la sortir de là et lui offrir un autre cadre de vie. Ce sont des choses dont je suis fier.

Ça vous construit de faire de belles choses. Ça vous donne plus de force, plus de détermination. C’est important de développer la confiance en soi. Et ça se fait aussi, à travers ces choses-là, à travers la générosité, à travers la conscience des autres, à travers l’engagement pour des causes. C’est très important de développer son sens de l’autre”. Ce sont des valeurs qui le portent et le construisent et qu’il insuffle notamment à son personnage d’Alex Hugo.

Samuel Le Bihan regrette la façon dont il a élevé son fils

“J’aimerais revenir en arrière si je pouvais.” C’est une façon de résumer le regret de Samuel Le Bihan qui vit comme une blessure le sentiment d’avoir été un père maladroit. Il se sent coupable : “Quand ma carrière a explosé, il était tout petit.

Ça m’a un peu éloigné de lui. Ça n’a pas été un moment facile, il n’a pas eu son père comme il aurait du l’avoir”. Et c’est quelque chose qu’il vit mal même si, aujourd’hui, il essaie de faire son mea culpa et de se rattraper. “Je n’ai pas eu une enfance forcément facile non plus. Du coup, vous ne pouvez pas donner ce que vous n’avez pas eu. Je n’avais pas une enfance apaisée.” Samuel Le Bihan éprouve de la culpabilité par rapport à son attitude, et il veut reconstruire ce qui peut l’être. Il essaie aussi de travailler sur lui-même afin d’offrir le meilleur à son deuxième enfant.

Angia, son deuxième enfant, s’entend bien avec Stefania Christian

Le premier rôle du film Le Pacte des Loups, réalisé par Christophe Gans, est l’heureux père d’une fille de 10 ans.

Samuel Le Bihan n’hésite pas à médiatiser son combat pour aider et soutenir par sa notoriété les nombreux parents qui vivent des situations similaires. Il est, par ailleurs, le parrain de plusieurs associations pour la défense des enfants atteints d’autisme. Il est également l’auteur du livre Un bonheur que je ne souhaite à personne. Dans cet ouvrage, il revient sur l’épreuve que représente l’annonce, la vie et le devenir d’un enfant souffrant de ce syndrome. Il révèle aussi toutes les joies qu’il peut en retirer.

Aujourd’hui en couple avec Stefania Christian, une femme qui n’est la mère d’aucun de ses trois enfants, l’interprète d’Alex Hugo fait tout son possible pour que les choses se passent de la meilleure des manières.

“J’ai ma responsabilité. Je dois faire en sorte que le lien se fasse dans le bon sens. Il faut accompagner, il faut aider car tout le monde est un peu intimidé. Donc, c’est à moi de créer les opportunités pour que cela se passe bien pour tout le monde. Ça a été ludique, on est sorti, on s’est amusé. Il ne faut pas les laisser toutes les deux se débrouiller.” Il a fait en sorte que sa fille “l’adore et qu’elle adore ma fille”.