“Je revis pleinement” : La résurrection de Kendji Girac, papa d’un petit Sernin après la plus sombre épreuve de sa vie
Il y a des mots qui pèsent plus lourd que d’autres, des confidences qui agissent comme un baume sur des cicatrices encore vives. Ceux prononcés par Kendji Girac lors d’une récente interview résonnent avec la force d’un nouveau départ, d’une aube inespérée après une nuit interminable. “C’est une renaissance. Je revis pleinement.” Derrière cette phrase simple se cache le plus grand des bonheurs, une nouvelle tenue secrète jusqu’alors : l’artiste est devenu père pour la seconde fois. L’arrivée d’un petit garçon, prénommé Sernin, vient illuminer une existence récemment assombrie par le drame, marquant la plus belle des victoires sur l’adversité.
L’annonce d’un bonheur inattendu
La nouvelle a été partagée avec une pudeur qui caractérise l’homme derrière l’artiste. Loin des annonces tapageuses sur les réseaux sociaux, c’est au détour d’un entretien avec le journal La Provence ce 19 août 2025 que Kendji a ouvert son cœur. Alors qu’il évoquait son retour sur scène et sa passion pour la musique, il a glissé cette information capitale qui redéfinit entièrement le contexte de sa reconstruction. Un deuxième enfant. Un fils. Un petit frère pour sa fille, Eva Alba, qui illumine sa vie depuis 2021.
Cette naissance, survenue dans la plus stricte intimité, est bien plus qu’un simple événement familial. Elle est un symbole puissant de résilience. Pour Kendji, c’est le point d’ancrage qui lui a permis de ne pas sombrer, la lumière qui l’a guidé hors des ténèbres. “Avoir ce petit bout avec moi, c’est une nouvelle force, une raison supplémentaire de me battre et de voir la vie en couleur”, a-t-il confié, laissant transparaître une émotion palpable. Le choix du prénom, Sernin, rare et empreint d’histoire, notamment dans le sud de la France, suggère un retour aux racines, à l’essentiel, loin du tumulte du show-business qui a failli le broyer.
Du chaos à la renaissance : la traversée du désert
Pour comprendre l’impact de cette nouvelle, il faut remonter le temps de quelques mois. En avril 2024, la France apprenait avec stupeur la nouvelle de sa grave blessure par balle sur une aire d’accueil de gens du voyage à Biscarrosse. L’affaire, d’abord confuse, avait rapidement pris une tournure dramatique. Lors d’une conférence de presse qui a tenu le pays en haleine, le procureur de la République avait révélé les détails d’une nuit d’alcool et de tensions conjugales, au cours de laquelle l’artiste, dans un acte désespéré pour retenir sa compagne, avait simulé un suicide avec une arme qu’il croyait déchargée.
Le verdict était tombé, brutal et sans fard, brisant l’image lisse et joyeuse du chanteur. Kendji n’était plus seulement l’idole des jeunes à la voix d’or, mais aussi un homme avec ses failles, ses démons, un homme qui avait frôlé la mort. S’en est suivie une longue période de silence, de convalescence physique mais surtout psychologique. Loin des caméras, il a dû se reconstruire, panser ses plaies, et affronter les conséquences de son geste sur sa famille et sa carrière. Le chemin était incertain, et beaucoup se demandaient s’ils retrouveraient un jour le Kendji solaire et insouciant qu’ils aimaient tant.
La paternité comme bouclier et moteur
C’est dans ce contexte de reconstruction que la paternité a pris une dimension salvatrice. Déjà transformé par la naissance de sa fille Eva Alba, qu’il a toujours farouchement protégée des regards, Kendji a trouvé dans ce second souffle de vie une raison de vivre inébranlable. Là où certains auraient pu sombrer dans l’apitoiement, il a puisé dans ce secret magnifique la force de remonter la pente.
Être père une seconde fois l’a ancré dans le réel, dans des responsabilités qui dépassent de loin les impératifs d’une carrière. Changer les couches, rassurer un nouveau-né, voir sa fille aînée endosser son rôle de grande sœur… Ces moments simples et précieux ont été sa meilleure thérapie. Ils lui ont rappelé que l’essentiel n’était pas dans les disques d’or ou les salles de concert pleines à craquer, mais dans la chaleur d’un foyer, dans les rires de ses enfants. Cette nouvelle paternité est venue consolider les fondations d’un homme nouveau, plus mature, conscient de sa fragilité mais aussi de son incroyable capacité à rebondir.
L’arrivée de Sernin n’est pas seulement une joie personnelle ; elle est aussi une promesse pour l’avenir artistique de Kendji. Il l’avoue lui-même, cette expérience a nourri son inspiration. Ses futures chansons porteront sans doute la marque de cette épreuve et de cette renaissance. On peut s’attendre à des textes plus profonds, plus introspectifs, où la joie de vivre, toujours présente, sera teintée d’une nouvelle gravité, d’une reconnaissance infinie pour cette seconde chance que la vie lui a offerte.
Aujourd’hui, quand Kendji Girac monte sur scène, ce n’est plus tout à fait le même homme. Le sourire est toujours là, la guitare toujours aussi virtuose, mais dans son regard brille une lumière nouvelle, celle d’un homme qui revient de loin et qui sait désormais quel est le véritable sens du mot “vivre”. L’arrivée de son fils Sernin a clos le chapitre le plus sombre de son histoire pour en ouvrir un autre, infiniment plus lumineux. Celui d’une résurrection.
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