Frédéric François, le sacre d’un patriarche à l’Olympia : soutenu par ses 12 amours, il transforme son retour en triomphe familial
Les lumières du boulevard des Capucines scintillent d’un éclat particulier en cette douce soirée du 19 août 2025. Sur le fronton rougeoyant de l’Olympia, un nom s’affiche, celui d’une légende, d’une voix qui a bercé des générations d’amoureux : Frédéric François. À 75 ans, le chanteur italo-belge retrouve sa scène fétiche après six longues années d’absence. L’événement est de taille pour son public fidèle. Mais ce soir-là, le spectacle le plus émouvant n’est pas seulement sur scène. Il est aussi dans la salle, où, pour la première fois, son clan au grand complet est réuni. Femme, enfants, petits-enfants… Ils sont douze, douze regards aimants tournés vers leur patriarche, transformant ce quinzième Olympia en une véritable célébration de famille.
L’Olympia, un pèlerinage sentimental
Pour Frédéric François, l’Olympia n’est pas une salle comme les autres. C’est un jardin parisien, un repère, le théâtre des plus grandes émotions de sa carrière. Y chanter pour la quinzième fois, après plus de cinquante ans de métier, a la saveur d’un pèlerinage. C’est ici qu’il a confirmé son statut d’idole populaire, ici qu’il a partagé avec son public ses plus grands succès, de “Je t’aime à l’italienne” à “Mon cœur te dit je t’aime”.
Mais après six ans de silence sur ces planches mythiques, une éternité pour un artiste, ce retour avait une saveur particulière. L’appréhension, le trac, même après des milliers de concerts, étaient palpables. Pourtant, dès les premières notes, la magie opère. La voix est là, intacte, chaude et rassurante. Le public, toutes générations confondues, est au rendez-vous, reprenant en chœur chaque refrain, brandissant des roses, témoignant d’une ferveur qui défie le temps et les modes. Frédéric François est chez lui, et son peuple est là pour l’accueillir.
Douze regards pour une seule voix
Pourtant, ce soir, un soutien plus intime et plus puissant encore l’enveloppe. Dissimulés parmi les spectateurs, mais au centre de son attention, se trouvent les douze piliers de sa vie. Il y a d’abord Monique Vercauteren, son épouse depuis 1970, son roc, la femme de l’ombre sans qui la lumière de l’artiste n’aurait jamais brillé avec une telle constance. À ses côtés, leurs quatre enfants : Gloria, Vincent, Anthony et la cadette, Victoria. Et puis, la troisième génération, ses petits-enfants, venus voir leur “nonno” devenir une idole le temps d’une soirée.
Les voir tous réunis, pour lui, est la plus belle des récompenses. Chaque chanson, chaque regard tourné vers eux est une déclaration d’amour, une façon de leur dire que s’il est un “chanteur d’amour” pour des millions de gens, c’est grâce à l’amour qu’il reçoit d’eux au quotidien. Cette présence familiale est le symbole ultime de sa plus grande réussite : celle d’avoir su concilier une carrière dévorante avec une vie de famille unie et préservée. Là où tant d’autres ont sacrifié l’un pour l’autre, Francesco Barracato, de son vrai nom, a fait de son clan sa force et sa source d’inspiration.
Le secret d’une carrière hors-norme
À 75 ans, comment expliquer une telle longévité ? Frédéric François est un phénomène. Il a traversé les décennies, du yéyé au disco, du rock à l’électro, sans jamais dévier de sa route : la chanson d’amour populaire, la variété sentimentale assumée. Il n’a jamais cherché à être à la mode, et c’est précisément ce qui l’a rendu intemporel. Il parle un langage universel, celui du cœur, des passions, des chagrins et des réconciliations.
Son public lui est d’une loyauté sans faille parce qu’il se reconnaît en lui. Dans cet homme à l’accent chantant, fils de mineur sicilien, qui a réalisé son rêve à force de travail et de persévérance. Il n’a jamais oublié d’où il vient, et cette humilité transparaît sur scène. Il ne chante pas pour son public, il chante avec lui.
Ce quinzième Olympia, après une si longue attente, a été bien plus qu’un simple concert. Ce fut une communion, une grande fête de famille élargie à 2000 personnes. Ce fut la preuve éclatante que la musique, quand elle est sincère, ne vieillit pas. En regardant son clan l’applaudir à tout rompre, Frédéric François a sans doute trouvé l’énergie pour continuer encore longtemps. Car ce soir-là, sur la scène de l’Olympia, il n’était pas seulement une star. Il était un mari, un père et un grand-père comblé, venu simplement chanter l’amour, entouré de tous ses amours. La plus belle des apothéoses.
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