L’Espagne annonce un “EU-EXIT” potentiel et ferme ses frontières, provoquant une panique totale à Bruxelles

L’impensable. Le tabou absolu. Le scénario catastrophe que les architectes de l’Union Européenne ont passé des décennies à écarter d’un revers de main arrogant. Cela arrive. Et cela ne se passe pas dans un petit pays mécontent, mais au cœur de l’une des nations piliers de l’Europe. L’Espagne se lève. L’Espagne menace de partir. Les frontières sont verrouillées.
Alors que la France est encore engluée dans ses débats stériles, ses querelles de coalition et ses trous budgétaires abyssaux, un tournant historique vient de s’amorcer de l’autre côté des Pyrénées. La nouvelle a frappé Bruxelles comme un séisme, ébranlant l’Europe sur ses fondations. L’Espagne est au bord de la sortie de l’UE.
Le catalyseur de ce drame politique ? Le parti séparatiste catalan, Junts. Dans un coup de théâtre politique majeur, il vient de retirer son soutien vital au gouvernement minoritaire socialiste de Pedro Sánchez. Mais ne vous y trompez pas, c’est bien plus qu’une simple crise gouvernementale. C’est un tremblement de terre.
Carles Puigdemont, l’homme que Madrid a pourchassé et exilé, tire désormais les ficelles. Depuis la France, il a fait s’effondrer la fragile majorité de Sánchez. Ses mots ont résonné comme un coup de tonnerre : “Un pacte qui n’est pas respecté n’est plus un pacte.”
Avec cette seule phrase, les fondations du gouvernement de gauche s’effritent. Sans les sept voix décisives des députés de Junts, Pedro Sánchez est un roi nu. Il ne peut plus faire passer de loi. L’Espagne est bloquée. Le spectre d’élections anticipées, d’un vote de défiance ou d’un arrêt total du gouvernement plane sur Madrid.
Et c’est ici que l’histoire, fidèle à elle-même, se répète. Quand un gouvernement de gauche échoue à tenir ses promesses, ceux qui défendent l’ordre, la sécurité et la souveraineté nationale prennent le relais.

Tous les sondages le confirment : le Parti Populaire (PP) conservateur d’Alberto Núñez Feijóo est nettement en tête. Et la troisième force du pays ? VOX. Un parti qui est à l’Espagne ce que le Rassemblement National est à la France : une voix de la raison s’élevant contre la folie migratoire, les diktats de Bruxelles et l’hypocrisie politique.
Une alliance entre le PP et VOX n’est plus une hypothèse, elle devient une évidence. Ensemble, ils disposent d’une majorité absolue. Et c’est précisément ce scénario qui fait trembler les couloirs feutrés de Bruxelles.
Car le langage d’Alberto Núñez Feijóo est sans ambiguïté. “Le modèle selon lequel tous les humains sont bons a échoué”, a-t-il déclaré, alors même que les Baléares voient le nombre d’arrivées de migrants exploser. Il annonce un virage radical. Des frontières claires. Une politique d’expulsion conséquente.
Feijóo défend le droit de chaque pays à décider qui peut entrer et qui ne le peut pas. Il exige une surveillance complète des frontières extérieures. Sa logique est implacable : “Ceux qui viennent pour travailler sont les bienvenus. Ceux qui viennent pour commettre des crimes doivent partir.” Le droit de séjour, martèle-t-il, doit être lié au travail et à la responsabilité, pas aux subventions et à la bureaucratie bruxelloise.
C’est ce langage de réalité, de respect national, que des millions de citoyens européens, et notamment français, regrettent d’avoir perdu.
Pendant que l’Espagne bascule, le chaos règne à Bruxelles. C’est la panique. L’idée qu’un des plus grands pays membres puisse ne serait-ce qu’envisager la sortie de l’UE est un cauchemar absolu pour les élites. Mais ce cauchemar devient réalité. Une Espagne conservatrice, souverainiste, détruirait l’équilibre précaire du pouvoir européen. Bruxelles le sait : sans l’Espagne, l’UE s’effondre comme un château de cartes. Un “Spanexit” serait le coup fatal pour le projet européen tel que nous le connaissons.
Et tandis que les fondations craquent au sud, que fait la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen ? Elle joue à la politicienne mondiale. Mais son leadership n’est qu’un spectacle vide. Son récent accord douanier avec Donald Trump, imposant des droits punitifs aux fabricants européens, est un suicide économique qui coûtera des centaines de milliers d’emplois. L’Europe n’est plus un partenaire ; elle est un vassal. Von der Leyen ressemble à un capitaine abandonnant un navire qui coule.
La révolte ne se limite pas à l’Espagne. Ailleurs aussi, ça gronde. La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, mène une alliance de huit États, dont le Danemark, la Pologne et l’Autriche. Leur cible ? La Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), accusée d’empêcher l’expulsion des étrangers criminels et de saper la souveraineté nationale.

Pendant que d’autres agissent, la France s’enfonce dans l’immobilisme. La majorité présidentielle se dispute sur des postes et des projets déconnectés, tandis que le pays se désintègre. La dette explose, Emmanuel Macron ayant ajouté seul plus de 300 milliards d’euros en sept ans. Les impôts écrasent les Français. L’insécurité devient la norme. Les usines ferment. Le système de retraite s’effondre.
La Cour des Comptes avertit que la France ne pourra bientôt plus financer ses missions essentielles. Et la réponse de la gauche ? De nouvelles taxes. Toujours plus.
Pendant ce temps, le Rassemblement National écrit l’histoire, atteignant 40 % en Nouvelle-Aquitaine. Le “front républicain”, cette vieille lune, commence à craqueler. Des voix s’élèvent même chez Les Républicains pour reconnaître que l’exclusion du RN n’a fait que le renforcer et qu’il est temps de lui accorder des droits démocratiques élémentaires.
La crise en Espagne est un miroir pour la France, pour toute l’Europe. Elle montre ce qui arrive quand les gouvernements ignorent leurs citoyens et vendent leur souveraineté à une entité bureaucratique. Les peuples veulent reprendre le contrôle. Ils veulent la sécurité, des frontières, une identité.
Le “Spanexit” est plus qu’un slogan. C’est un symbole. C’est l’éveil des nations européennes. Ce qui se passe en Espagne n’est pas un événement isolé. C’est partie d’un mouvement qui va de Budapest à Rome, et qui arrive à Paris. Un retour à la raison.
L’UE, projet de paix, s’est transformée en un appareil de pouvoir centralisé qui détruit les identités et prive les peuples de leur voix. Aujourd’hui, les peuples disent STOP. L’Espagne n’est que le début. Si Madrid tombe, Bruxelles tombe. Et si Bruxelles tombe, l’Europe retrouve enfin sa liberté.
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