Antoine Dupont “pas à l’aise” dans l’univers d’Iris Mittenaere mais il se fait violence

Cet été, Antoine Dupont est parti au Japon. Et le joueur de rugby n’est pas aussi à l’aise qu’Iris Mittenaere dans un domaine particulier.

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Blessé au genou et en pleine rééducation, Antoine Dupont profite d’un break pour multiplier les expériences loin des terrains. Parrain du Pavillon France à l’Exposition universelle d’Osaka, il s’est envolé pour le Japon afin de représenter le savoir-faire français et ses partenaires de luxe, notamment Louis Vuitton, dont il est ambassadeur. Un rôle qui l’emmène dans des univers très éloignés de celui du rugby…

Sur place, le capitaine du XV de France a enchaîné visites et apparitions publiques : découverte du katana, immersion dans des expositions, échanges…Dans une interview avec Point de Vue, il est également revenu sur sa proximité avec certaines personnalités issues du monde du glamour. Un territoire où il avoue ne pas être aussi à l’aise qu’Iris Mittenaere par exemple.

Antoine Dupont “pas à l’aise” dans l’univers des pailettes

Interrogé sur cet univers très éloigné du rugby, le joueur de rugby Antoine Dupont reconnaît que cela le met parfois mal à l’aise. “Je ne suis pas toujours à l’aise. Quand il faut faire la queue pour aller saluer Pharrell Williams après le show Louis Vuitton, j’ai tendance à rester sur le côté. Pourtant, si je dépasse ma timidité, je suis curieux de pouvoir discuter avec lui de son incroyable univers créatif.’’

Curieux de tout, il s’efforce de s’approprier les codes sans se trahir, estimant que son rôle n’est pas d’être “un panneau publicitaire” mais bien d’incarner les valeurs de la maison Louis Vuitton.

Un ambassadeur de Louis Vuitton qui garde les pieds sur terre

Malgré sa montée en popularité depuis les JO 2024 de Paris, Antoine Dupont reste attaché à ses racines. En effet, il profite de son temps libre pour développer des projets familiaux comme la rénovation du domaine de Barthas, un hôtel-restaurant repris par ses grands-parents dans les années 1970. Il confie que cet ancrage rural est son équilibre face au rythme parfois artificiel de certaines obligations médiatiques.

Et alors qu’il continue sa rééducation, l’international vise un retour sur les terrains en novembre prochain. En attendant, il applique au monde du luxe les mêmes principes qu’au rugby : observer, apprendre, et donner le meilleur de lui-même… même quand le cadre lui semble étranger. Comme il le résume avec humour : “Tout est bon à prendre. Plus sérieusement, mon vœu, c’est d’être heureux. C’est déjà pas mal, non ?’’