Scandale posthume autour de Ludovic Chancel – Un passant filme par hasard un rituel nocturne étrange sur sa tombe, au cimetière de Louveciennes : draps noirs, bougies rouges et une voix récitant des mots en latin – Sheila refuse de commenter. S’agit-il d’une simple mise en scène… ou d’un message d’outre-tombe ? Révélations à suivre…

Louveciennes, Yvelines. Il est minuit passé quand Antoine F., un photographe amateur, rentre chez lui après un shooting tardif. En passant près du cimetière des Arches, il remarque une lumière rougeâtre vacillante derrière la grille. Intrigué, il sort son téléphone et commence à filmer. Ce qu’il capture va déclencher une vague de spéculations et un tourbillon médiatique dont personne ne sortira indemne.

Au fond de l’allée centrale, devant la tombe de Ludovic Chancel – le fils de la célèbre chanteuse Sheila et de l’icône des années 70, Ringo – se tiennent trois silhouettes vêtues de noir, encapuchonnées. Autour d’elles, une dizaine de bougies rouges forment un cercle parfait. L’une d’elles tient un petit livre et lit à voix haute des phrases en latin. Les mots sont indistincts, mais la voix est grave, presque hypnotique. Antoine tremble, recule, mais continue de filmer.

Le lendemain matin, la vidéo circule sur X (ex-Twitter), TikTok et Instagram. Le titre claque : “Rituel satanique sur la tombe de Ludovic Chancel ?” En quelques heures, les internautes relancent l’affaire de la mort de Ludovic, décédé en 2017 à l’âge de 42 ans, officiellement d’une overdose accidentelle. Mais pour certains fans, l’histoire n’a jamais été claire. Trop de non-dits. Trop de silences. Et surtout, une mère – Sheila – étrangement distante lors de l’enterrement.

Les commentaires explosent :
“C’était peut-être un appel à l’aide.”
“Pourquoi un rituel ? Était-il victime de quelque chose ?”
“Sheila sait plus qu’elle ne dit.”
“Ce n’est pas une simple coïncidence.”

Un journaliste de Voici se rend immédiatement sur place. Le gardien du cimetière, visiblement bouleversé, confirme que ce n’est pas la première fois qu’il entend des voix ou qu’il trouve des bougies brûlées près de la tombe de Ludovic. “Mais je n’ai jamais osé en parler. Qui aurait cru un vieux gardien insomniaque ?”

La mairie de Louveciennes ouvre une enquête discrète. Aucune plainte n’est déposée, mais la vidéo continue de faire le tour du pays. Le nom de Sheila remonte à la surface, douloureusement. Approchée par les journalistes, elle refuse toute déclaration. “C’est une affaire privée,” lâche-t-elle sèchement, avant de disparaître derrière son portail.

Mais le silence ne fait qu’alimenter les soupçons.

Des anciens amis de Ludovic sortent de l’ombre. L’un d’eux, qui préfère rester anonyme, affirme que Ludovic “parlait souvent de forces qui le poursuivaient”, et qu’il “avait peur que sa mort soit mise en scène”. Il aurait même écrit une lettre, jamais retrouvée, évoquant “un pacte familial”.

Le mystère s’épaissit.

Une semaine après la diffusion de la vidéo, un groupe ésotérique affirme être responsable du rituel. Leur objectif ? “Apaiser l’âme tourmentée de Ludovic.” Mais cette déclaration ne rassure personne. Pourquoi lui, spécifiquement ? Et pourquoi maintenant, huit ans après sa mort ?

Un détail trouble les enquêteurs : sur la tombe, un petit médaillon en forme de triangle inversé a été retrouvé sous un pot de fleurs. Ce symbole est souvent associé à certaines confréries occultes. Aucune empreinte, aucune trace ADN exploitable. Mais une odeur d’encens persistante.

Le débat fait rage dans les plateaux télé. Théories du complot, tensions familiales, tabous autour de la drogue, de la célébrité, du silence des parents : tout est remis sur la table. Une chroniqueuse de TPMP lâche même : “Je crois que Ludovic voulait dire quelque chose. Et ce message, on vient de le recevoir.”

Sheila, acculée, publie un message froid sur Instagram : “Je demande le respect pour mon fils, même après sa mort. Il n’y a pas de mystère. Il y a juste de la douleur.” Pourtant, certains notent que ce message ne dément en rien les faits de la vidéo.

Aujourd’hui encore, des curieux se rendent sur sa tombe. Certains prient. D’autres déposent des lettres. Une femme y a même laissé un carnet intitulé “Ce que Ludovic voulait dire”, rempli de poèmes, d’hypothèses, de fragments de vérités supposées.

Une chose est sûre : même mort, Ludovic Chancel continue de faire parler de lui. Et dans les allées sombres du cimetière des Arches, là où dansent encore parfois les ombres et les bougies, le mystère demeure entier.

Ce qui suit pourrait bien vous hanter.