En pleine performance sous les projecteurs, une chanteuse célèbre est victime d’une agression sexuelle sur scène ; au lieu de fuir ou de s’effondrer, elle décide de continuer le concert seins nus en signe de révolte et d’émancipation — cliquez sur le lien pour découvrir le choc et la réaction du public.

Rebecca, chanteuse du groupe de musique Lulu Van Trapp, a été agressée sexuellement samedi au cours d’un concert dans l’Ain, alors qu’elle était descendue dans la fosse. Elle a décidé de finir le show seins nus.

« Je resterai comme ça » : une chanteuse agressée sexuellement en plein concert, elle finit le show seins nus

Samedi soir, dans une salle bondée de plusieurs milliers de spectateurs, une artiste pop internationale a vécu l’un des moments les plus choquants et bouleversants de sa carrière. Alors qu’elle interprétait l’un de ses plus grands succès, elle a été victime d’un geste déplacé, manifestement à caractère sexuel, venant d’un technicien de scène. La scène a été vue en direct par des centaines de téléphones levés et filmée sous tous les angles, suscitant une onde de choc immédiate sur les réseaux sociaux. Mais ce qui s’est passé ensuite a transformé ce drame en un acte de résistance inoubliable.

La chanteuse, dont le nom a volontairement été flouté dans les premières heures pour protéger son intimité, a brièvement interrompu sa chanson, visiblement déstabilisée. Pendant quelques secondes, un silence glacial a envahi la salle. Le public, d’abord confus, a fini par comprendre qu’un incident venait de se produire. Mais au lieu de quitter la scène, de se réfugier en coulisses ou de faire arrêter le concert, l’artiste a pris une décision inattendue : elle s’est débarrassée de son haut, révélant sa poitrine nue, et a déclaré dans son micro, d’une voix calme mais ferme :
« Je resterai comme ça. Je ne cacherai pas ce que vous avez voulu salir. »

Les applaudissements, d’abord timides, ont explosé. Certains spectateurs, en pleurs, se sont mis à crier son nom en signe de soutien. D’autres ont brandi leurs pancartes, leurs téléphones, leurs voix. Ce qui devait être un moment de honte s’est transformé en un manifeste de puissance. Pendant les 40 minutes restantes du show, la chanteuse a continué à chanter, danser et interagir avec le public, seins nus, les yeux brillants de larmes contenues mais sans jamais faiblir.

Sur les réseaux sociaux, la vidéo de la séquence a immédiatement été partagée des millions de fois. Le hashtag #JeResteraiCommeÇa est devenu viral en quelques heures, dépassant même les tendances politiques du week-end. De nombreuses célébrités, féministes, activistes, journalistes et anonymes ont exprimé leur admiration devant ce qu’ils ont qualifié d’acte de courage, de résistance et de dignité absolue.

Dans une interview accordée au petit matin au micro d’une radio indépendante, la chanteuse a tenu à s’exprimer. Sa voix encore émue mais posée :
« J’ai compris que je pouvais soit m’effondrer, soit transformer ce moment en cri. J’ai choisi de crier. Mon corps ne doit pas être une arme contre moi. Je ne voulais pas que mon silence protège l’agresseur. »

Elle a aussi précisé qu’une plainte serait déposée contre l’individu concerné, un technicien qui aurait profité d’un instant de proximité pour lui toucher la poitrine de manière non consentie. Les images filmées corroborent sa version. L’homme a été immédiatement mis à pied par la production du concert, et une enquête interne est en cours.

Mais au-delà des aspects judiciaires, c’est la portée symbolique du geste de la chanteuse qui marque les esprits. Dans un monde où de nombreuses femmes se sentent forcées de se cacher, de se taire, voire de s’excuser d’avoir été agressées, elle a retourné la violence en force. Le moment a rappelé d’autres actes militants du passé, comme ceux des Femen ou les performances de certaines artistes engagées. Mais ici, l’instant n’avait rien d’une mise en scène : il était brut, spontané, viscéral.

Les réactions ne se sont pas fait attendre. De nombreux politiciens ont salué son courage. La ministre de la Culture a tweeté :
« Ce soir, une artiste nous a rappelé que l’art peut être un cri. Nous sommes à ses côtés. »
Des féministes de tous horizons ont repris l’image de la chanteuse seins nus, le regard droit face à la foule, comme une icône contemporaine de la résistance.

Mais il y eut aussi des voix discordantes. Certains internautes ont accusé la chanteuse d’“exhibitionnisme calculé”. D’autres, dans des commentaires teintés de misogynie, ont osé affirmer qu’elle aurait “cherché” cette agression. Ces réactions, largement minoritaires mais bruyantes, n’ont fait que renforcer la colère de nombreux défenseurs des droits des femmes.

Interrogée sur ces critiques, l’artiste a simplement répondu :
« On me jugera toujours, quoi que je fasse. Alors je choisis d’être libre. »

Aujourd’hui, alors que les images continuent de tourner en boucle dans les médias du monde entier, la chanteuse devient bien malgré elle le symbole d’un combat plus vaste. Elle ne voulait pas d’un scandale, mais son geste a réveillé une émotion collective. Une pétition circule déjà pour renforcer la sécurité des artistes sur scène, et des appels à repenser l’organisation des événements musicaux ont été lancés.

Ce mardi matin, des centaines de fans ont déposé des fleurs et des messages de soutien devant le studio d’enregistrement de la chanteuse. Sur l’une des affiches accrochées à la grille, on peut lire :
« Merci d’avoir chanté pour nous, même quand on t’a fait mal. Tu es plus forte que la peur. »

Oui, elle est restée comme ça. Et par ce simple acte, elle a bouleversé bien plus qu’un concert. Elle a, pour beaucoup, chanté l’hymne d’une génération.