🌟📰 À 81 ans, Diana Ross dit enfin la vérité sur Michael Jackson ! La légendaire chanteuse revient sur leur amitié, leurs carrières entremêlées et des révélations inattendues qui bouleversent l’image du Roi de la Pop et captivent ses fans à travers le monde.

Diana Ross et Michael Jackson : une amitié devenue légende

Il existe des amitiés dans le showbiz, et puis il y a ce qu’il y avait entre Diana Ross et Michael Jackson. Tout a commencé lorsqu’il n’était qu’un garçon, nerveux, silencieux, à la recherche d’un repère solide auquel se raccrocher. Pendant des décennies, Diana n’a jamais expliqué pourquoi il la suivait avec autant de dévotion, ni pourquoi il avait un jour déclaré qu’elle était mère, sœur et amante tout à la fois. Elle n’a rien précisé lorsqu’il inscrivit son nom dans son testament, ni lorsqu’il cessa de lui parler après son mariage. Mais aujourd’hui, à 65 ans, elle parle enfin, pas pour les gros titres, mais avec des mots qui révèlent ce qui s’est vraiment passé.

Tout commence en 1969. Michael Jackson n’a que neuf ans lorsqu’il rencontre Diana Ross pour la première fois. À cette époque, il est le plus jeune des Jackson 5, un groupe familial émergent originaire de Gary, Indiana, récemment signé chez Motown Records. Diana, quant à elle, est déjà une superstar, ayant quitté les Supremes pour entamer sa carrière solo. Elle est l’une des figures les plus puissantes et glamour de Motown et une proche confidente du fondateur du label, Berry Gordy.

Selon Motown, ce dernier a découvert les Jackson 5 après avoir vu une performance filmée envoyée par Bobby Taylor. Michael, lui, raconte souvent une autre version : Diana Ross les aurait découverts. Ce récit, même inexact, fut utilisé par Motown pour la promotion. Le label sortit le premier album des Jackson 5 sous le titre Diana Ross présente les Jackson 5, capitalisant sur sa renommée. Pour Michael, ce n’était pas seulement une tactique commerciale : c’était la vérité de son cœur. Diana ne le présentait pas seulement au monde, elle le sauvait de l’invisibilité.

Leur lien se forma rapidement. Lorsque les Jackson s’installèrent à Los Angeles, Michael séjourna fréquemment chez Diana dans sa maison des Hollywood Hills. Il n’y venait pas seulement pour se détendre : il observait, apprenait, absorbait chaque détail. Diana n’était pas seulement une mentore : elle était un modèle vivant de ce qu’il aspirait à devenir. Il étudiait ses gestes, ses réponses en interview, la manière dont elle réglait lumière et angles sur le plateau. Plus tard, Michael dirait qu’elle lui avait appris à sourire devant la caméra, à occuper une scène, à se comporter comme une star.

En 1971, alors qu’il lance sa carrière solo, sa première prestation télévisée ne se fait pas dans un programme des Jackson mais dans Diana, l’émission spéciale de Diana Ross. Il y chante “Got to Be There” et danse avec une assurance surprenante pour son âge. Ce que le public ne voit pas, ce sont les heures de préparation en coulisses. Diana le guide avec douceur et attention, le façonnant, patiemment, pour le monde. Elle le décrit alors comme un fils, un frère : “Il m’admire tellement”, dit-elle. “Alors j’essaie d’être un bon exemple.”

Mais derrière les portes closes, les sentiments de Michael allaient bien au-delà de l’admiration. Il suivait Diana avec l’intensité de quelqu’un qui ressent plus que de la gratitude. Il mémorisait ses gestes, sa façon de parler, la manière dont elle tournait la tête sur scène. Au fil des années, ce lien devient plus visible. Ses frères déclareront plus tard que Michael vénérait Diana, qu’il la voyait comme bien plus qu’un membre de la famille. Tandis que le public croyait à une relation frère-sœur, ceux qui connaissaient Michael percevaient quelque chose de plus complexe, silencieux, indicible.

En 1978, leur relation prend une dimension encore plus intime avec The Wiz, où Michael joue l’Épouvantail et Diana Dorothy. Pour la première fois, ils travaillent ensemble au quotidien pendant des mois. Michael loue un appartement à New York, et Diana choisit de vivre dans le même immeuble. Sans manager, sans caméras, juste eux. Les membres de la production remarquent une intimité palpable, mais jamais ostentatoire. Diana l’appelle “bébé”, Michael semble apaisé en sa présence. Ce n’est pas une romance pour le spectacle : c’est privé, sincère.

Pour Michael, c’est un tournant. Il n’est plus un enfant, pas encore un homme. Diana est son ancrage, celle qui a déjà parcouru le chemin qu’il emprunte. Il partage avec elle ses maquettes, ses chansons, ses vulnérabilités. Ce n’est pas seulement un mentorat professionnel : c’est un lien profond, émotionnel, confiant. Ses proches remarquent un changement : Michael sourit moins devant la presse, mais est plus serein en privé. C’est la première fois qu’il semble aimer sans jouer un rôle.

En 1982, alors que Thriller s’apprête à exploser, Michael est au sommet mondial. Le petit garçon timide derrière Diana Ross est devenu une icône culturelle. Mais il reste hanté par une vérité intime. Lors d’une interview pour Ebony, le journaliste lui demande : “Qui est la femme idéale pour vous ?” Michael, sans hésiter, répond : “C’est Diana Ross. Je l’aime.” Le silence s’installe. Michael ne sourit pas. S’il pouvait épouser n’importe qui dans le monde, ce serait elle.

Le monde connaissait Michael Jackson, mais peu avaient aperçu l’intimité silencieuse qui le liait à Diana Ross. Une relation faite d’admiration, d’amour, de respect et de confiance, bâtie dans l’ombre et protégée des projecteurs, qui resterait l’un des liens les plus mystérieux et fascinants de l’histoire de la musique.