💥 Drama inattendu – À 80 ans, Dominique Lavanant brise enfin le silence sur sa brouille mystérieuse avec la troupe du Splendid : un tournage cauchemardesque vécu comme « le pire souvenir » de sa carrière, une amitié précieuse perdue à jamais avec Josiane Balasko, des rancunes enfouies depuis des décennies… mais pourquoi parler aujourd’hui ? Était-ce vraiment un simple désaccord professionnel ou un secret plus sombre encore ? Derrière les rires et les paillettes, une vérité dérangeante se cache, et les révélations de l’actrice bouleversent le monde du théâtre français. Préparez-vous : ce qui suit va tout changer.
À 80 ans, Dominique Lavanant aurait pu se contenter de cultiver l’image d’une comédienne respectée, honorée par des décennies de cinéma et de théâtre. Mais, contre toute attente, elle a choisi de briser un silence lourd, presque étouffant, qui durait depuis quarante ans. L’actrice, connue pour sa pudeur et sa réserve, a révélé ce qu’elle appelle « une blessure jamais cicatrisée » : sa brouille définitive avec la troupe du Splendid et surtout avec Josiane Balasko, qu’elle considérait comme une véritable sœur de cœur.
Cette révélation a eu l’effet d’une bombe. Le Splendid, dans l’imaginaire collectif, c’est avant tout une bande d’amis indestructibles, une famille artistique soudée qui a conquis la France à coups de comédies cultes comme Les Bronzés ou Le Père Noël est une ordure. Lavanant, bien qu’associée à cette légende, a toujours semblé à la périphérie, présente mais jamais tout à fait intégrée. Ce flou, ce malaise, trouve aujourd’hui une explication bouleversante.
« Le pire souvenir de ma carrière », a-t-elle lâché, la voix tremblante. Elle fait référence à un tournage précis, dont elle tait le titre mais dont les proches affirment qu’il s’agissait de Les Bronzés font du ski. Derrière les rires et la complicité apparente, une tension glaçante régnait. Lavanant raconte des journées de tournage « humiliantes », des regards pesants, des blagues blessantes à répétition, et une sensation d’exclusion constante.
Mais ce qui choque le plus, c’est l’évocation de son amitié brisée avec Josiane Balasko. « Josiane était ma confidente, ma meilleure amie, celle à qui je pouvais tout dire. Et un jour, du jour au lendemain, c’est comme si je n’existais plus », confie-t-elle. Que s’est-il passé ? Les spéculations fusent. Certains parlent d’une rivalité professionnelle : Balasko aurait voulu s’imposer comme scénariste et réalisatrice, et Dominique, par son aura singulière, représentait une menace. D’autres évoquent un conflit plus intime, une confidence trahie, un désaccord irréversible.
Le plus troublant est peut-être ce qu’elle ne dit pas. À plusieurs reprises, Dominique laisse entendre qu’il y aurait eu des « non-dits lourds » et même des « attitudes choquantes » sur le plateau. Sans jamais accuser directement, elle trace les contours d’un climat toxique, où jalousie et cruauté auraient pris le pas sur l’amitié et l’esprit d’équipe.
Pourquoi avoir gardé le silence si longtemps ? « J’avais peur de briser un mythe », reconnaît-elle. Pendant des décennies, elle a accepté de se taire, de laisser vivre la légende dorée du Splendid, consciente que ces films faisaient partie du patrimoine culturel français. Mais à 80 ans, libérée des contraintes de carrière et sans rien à perdre, elle a décidé de dire sa vérité. « Je ne voulais pas partir avec ce poids », murmure-t-elle.
Cette confession bouleverse. Car derrière l’icône, on découvre une femme meurtrie, qui a porté seule un fardeau invisible. Ses mots font écho à une réalité trop souvent occultée : le monde du cinéma, derrière ses paillettes, peut être un terrain de cruauté et de rivalités implacables. « Les gens pensent que nous étions une bande inséparable. C’est faux. Il y avait des clans, des exclusions, et moi, j’étais dehors », dit-elle avec amertume.
Les réactions ne se sont pas fait attendre. Certains membres du Splendid, contactés par la presse, se sont murés dans le silence. D’autres, anonymes, ont laissé filtrer une forme de malaise : « Ce n’est pas le moment de laver son linge sale en public », aurait confié l’un d’eux. Josiane Balasko, elle, n’a pas encore pris la parole. Ce silence, à lui seul, alimente toutes les hypothèses.
Pourtant, dans le public, beaucoup comprennent la démarche de Dominique. Les réseaux sociaux se sont embrasés : « Elle a le droit de dire sa vérité », « Ce n’est pas parce qu’on adore les films qu’on doit ignorer la souffrance d’une actrice », peut-on lire parmi des centaines de commentaires. D’autres, en revanche, s’interrogent sur le timing : « Pourquoi maintenant ? Pourquoi rouvrir de vieilles blessures à cet âge ? »
La vérité, c’est peut-être que Dominique cherche avant tout une forme de rédemption personnelle. Elle ne cherche pas à détruire le Splendid, ni à salir Balasko. Elle veut simplement être reconnue pour ce qu’elle a traversé. « J’ai longtemps pensé que je n’avais pas ma place. Aujourd’hui, je comprends que j’étais victime d’un système cruel. Je veux que ça se sache. »
À travers cette confession, Dominique Lavanant redonne aussi une voix à tous les artistes relégués à l’ombre des « grandes bandes », à ceux qui, dans les coulisses, souffrent en silence de ne pas être pleinement intégrés. Son témoignage est plus qu’un règlement de comptes : c’est une mise en lumière, un plaidoyer pour une reconnaissance tardive.
Et pourtant, malgré tout, elle conclut avec une phrase qui glace : « Je n’en veux plus à Josiane, mais je ne lui pardonnerai jamais. » Ces mots sonnent comme une sentence irrévocable. Une amitié est morte, une blessure reste béante, et la légende dorée du Splendid apparaît désormais fissurée.
Au-delà de la nostalgie et des rires des années 70-80, cette révélation rappelle que les icônes aussi ont leurs fantômes. Dominique Lavanant, en osant briser le silence, a peut-être fragilisé une légende, mais elle s’est surtout libérée. À 80 ans, elle nous livre une leçon amère : derrière chaque comédie, il y a parfois une tragédie silencieuse.
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