« Elle était l’amour de ma vie » — À 88 ans, Robert Redford brise enfin le silence et confirme des rumeurs bouleversantes qui circulaient depuis des décennies.
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Le 30 juillet dernier, un profond chagrin a touché la famille de Richard Anthony. Trois de ses enfants viennent en effet de traverser l’une des épreuves les plus douloureuses de leur vie : la perte de leur mère, Sabine Anthony. Décédée dans la nuit du 29 au 30 juillet après une longue maladie, Sabine s’est éteinte à la clinique Ambroise-Paré de Boulogne-Billancourt, entourée de ses fils qui l’ont accompagné jusqu’à ses derniers instants.
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Sabine Anthony fut la dernière épouse du chanteur emblématique Richard Anthony, avec qui elle partagea de nombreuses années de vie. De cette union sont nés trois fils, aujourd’hui adultes, qui, lors des obsèques de leur mère, ont suscité une émotion palpable. Le 2 août 2025, famille, amis et personnalités du monde de la musique et des médias se sont réunis au cimetière du Carré juif de Pantin, en région parisienne, pour rendre un dernier hommage à cette femme restée discrète mais précieuse dans l’ombre de la carrière de son mari.
Le moment fut marqué par une série de gestes bouleversants de la part des enfants de Sabine Anthony. Leur présence, digne et émue, leur tendresse l’un envers l’autre et envers leur défunte mère, ainsi que leurs mots chargés de souvenirs et d’amour, ont ému l’assemblée. Des larmes sincères ont coulé sur les visages, non seulement de la famille, mais aussi de tous ceux qui avaient connu Sabine et appréciaient sa douceur et sa générosité.
Parmi les personnalités présentes figuraient d’anciens collaborateurs de Richard Anthony, des amis de la famille, ainsi que quelques figures médiatiques venues apporter leur soutien à la famille endeuillée. Tous ont salué la mémoire de Sabine Anthony, dont la discrétion n’avait d’égale que la force de caractère et l’amour qu’elle portait à ses proches. Depuis la disparition de Richard Anthony en 2015, Sabine avait poursuivi son chemin avec courage, entourée de ses enfants, dont elle était particulièrement proche.
Lors de la cérémonie, l’un de ses fils a pris la parole pour rendre hommage à cette mère exceptionnelle. Dans un discours sobre mais profondément touchant, il a retracé les grands moments de leur vie commune, leur enfance bercée par la musique de leur père et la tendresse de leur mère, la force avec laquelle Sabine les a élevés, soutenus, aimés. « Elle était notre phare, même dans les tempêtes. Aujourd’hui, nous perdons une mère, mais son amour demeure », a-t-il confié, les larmes aux yeux.

La disparition de Sabine Anthony marque la fin d’une époque pour ceux qui ont connu la grande histoire d’amour qu’elle partageait avec Richard Anthony. Leur couple avait traversé les années avec complicité, et bien qu’éloignés par les aléas de la vie, leur lien est resté fort jusqu’à la fin. Ensemble, ils ont construit une famille soudée, que Sabine a su maintenir unie même après la disparition du chanteur.
Les obsèques ont été ponctuées de chants, de prières et de silences lourds de sens. Le Carré juif de Pantin a accueilli en ce jour bien plus qu’un simple enterrement : c’était un hommage vibrant à une femme qui, dans l’ombre d’une légende de la chanson française, avait su incarner la dévotion, la douceur et la force maternelle. Une page se tourne, mais le souvenir de Sabine Anthony, lui, reste vivace dans le cœur de ceux qui l’ont aimée.
Alors que le cercueil descendait en terre, les sanglots redoublaient. Les fils de Sabine se sont étreints longuement, entourés de leurs proches. Dans ce moment de peine intense, un profond respect et une grande unité familiale se sont manifestés, preuve que l’amour que Sabine a semé tout au long de sa vie continue de fleurir, même dans l’absence.
Aujourd’hui, c’est toute une famille qui pleure, mais aussi tout un pan de l’histoire musicale française qui rend hommage à celle qui fut la compagne et la muse de Richard Anthony, et surtout, une mère aimante et dévouée. Que son âme repose en paix, auprès de celui qu’elle a tant aimé.
Dans les couloirs silencieux des institutions et sous les projecteurs éblouissants des plateaux télé, Christian Karembeu avançait, droit, déterminé, mais habité par un vertige intime que peu percevaient. L’ancien champion du monde, icône adulée, n’a jamais cessé de se demander, derrière son sourire discret, “Suis-je à ma place ? Suis-je respecté pour ce que je suis ou simplement toléré parce que je sers un projet plus vaste ?”. Ces interrogations, il les a portées comme une douleur muette, un poids transmis, en partie, par l’histoire tragique de son peuple.

Né en Nouvelle-Calédonie, petit-fils d’un homme exhibé comme “cannibale” lors de l’exposition coloniale de Paris en 1931, Karembeu a grandi avec, en mémoire, l’écho d’une humiliation historique qui n’a jamais été pleinement reconnue. Ce passé colonial, trop longtemps tu, a hanté ses pas, nourri ses doutes, miné parfois sa confiance, même lorsqu’il brillait sur les terrains du monde entier. Car derrière les médailles, les acclamations, les contrats dorés, l’enfant de Lifou n’a jamais pu ignorer le regard des autres, souvent chargé d’exotisme, parfois de condescendance, rarement d’égalité.
C’est avec cette mémoire douloureuse qu’il a abordé ses prises de parole publiques, notamment lorsqu’il s’est engagé politiquement. Soutien actif à la cause kanak et fervent défenseur de la reconnaissance des peuples autochtones, Karembeu a souvent été perçu, à tort, comme une figure consensuelle. Or, son engagement est profondément politique, viscéral même. Il n’a jamais cherché à faire du bruit pour exister, mais à donner une voix à ceux qu’on n’écoute pas, à réparer symboliquement, par sa présence et ses mots, une blessure que la République peine à nommer.
Mais ce combat n’a pas été sans conséquence. En s’exposant, il s’est aussi fragilisé. Les critiques n’ont pas tardé. Certains ont remis en cause sa légitimité, d’autres lui ont reproché un “discours victimisant”, comme si la douleur héritée n’avait pas sa place dans l’espace public. Pourtant, Karembeu a continué. Silencieux souvent, digne toujours. Il a appris à habiter ses contradictions, à vivre avec ce malaise persistant : être un héros national, tout en se sentant parfois étranger dans la nation qu’il a représentée.
Aujourd’hui, il parle. Non pas pour faire la leçon, mais pour témoigner. Pour dire à la jeunesse des îles, des quartiers, à tous les invisibles, qu’il est possible de réussir sans se renier, qu’il est nécessaire de s’interroger, que le doute n’est pas une faiblesse mais un acte de lucidité. Karembeu n’a pas trouvé toutes les réponses, peut-être ne les trouvera-t-il jamais, mais il a décidé de ne plus se taire. Et c’est peut-être là, dans cette parole retrouvée, que réside sa plus belle victoire.
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