Ils l’ont fait ! Le nouveau clip de Corsu Mezu Mezu 2 bouleverse la France entière : larmes, frissons et révélations inattendues dans cette ode vibrante à la Corse oubliée.

Ils l’ont fait : le phénomène Corsu Mezu Mezu 2 frappe en plein cœur

Paris n’avait pas vu venir ce raz-de-marée émotionnel. Et pourtant, depuis sa sortie officielle hier soir, le nouveau clip de Corsu Mezu Mezu 2 s’impose comme un choc culturel et musical. Entre paysages corses à couper le souffle, voix envoutantes et une mise en scène d’une intensité rare, la vidéo a provoqué un véritable torrent de réactions. Larmes, frissons, débats enflammés : tout y est. Et derrière la beauté des images, une révélation inattendue bouleverse encore plus le public.

Une suite très attendue… et un pari risqué

En 2015, le premier projet Corsu Mezu Mezu avait réuni des artistes corses et continentaux autour d’un hommage vibrant à l’île de Beauté. Mélange de chansons traditionnelles revisitées et de collaborations improbables, l’album avait rencontré un succès fulgurant.

Huit ans plus tard, le pari de faire renaître cette magie paraissait risqué. La musique a changé, le public aussi. Mais dès les premières notes du nouveau clip, une certitude s’impose : l’âme corse est toujours là, plus puissante que jamais.

Des images qui frappent et des voix qui transpercent

Tourné en grande partie dans les montagnes du Niolu, sur les côtes sauvages de Bonifacio et au cœur des villages perchés, le clip offre une immersion totale dans l’univers insulaire. Les couleurs sont brutes, presque rugueuses, comme la terre qu’elles représentent.

Les voix, elles, oscillent entre douceur caressante et puissance viscérale. Les harmonies traditionnelles se mêlent à des arrangements modernes, créant une tension émotionnelle qui captive l’auditeur dès les premières secondes.

Une collaboration artistique inédite

Cette fois-ci, le projet a réuni des figures inattendues :

Patrick Fiori et Clara Luciani, fusionnant deux générations musicales.

Kendji Girac, qui apporte sa touche gypsy, surprend par sa justesse dans les chants corses.

Des chanteurs insulaires méconnus, dont la voix brute donne une authenticité bouleversante.

La magie opère surtout lorsque les voix se superposent sur fond de maquis embrasé par la lumière du coucher de soleil : un moment suspendu qui, à lui seul, justifie l’engouement.

Les révélations qui ont secoué le public

Mais si le clip fait tant parler, ce n’est pas uniquement pour sa beauté artistique. Dans une séquence inattendue, au milieu de la vidéo, un court texte défile à l’écran. Il rend hommage à plusieurs villages corses menacés par la désertification, révélant au passage des noms de familles oubliées… et une histoire de transmission secrète.

Parmi elles, la mention d’une figure légendaire de la résistance corse, dont le petit-fils se trouve être l’un des producteurs de l’album. Cette révélation, à la fois intime et historique, a déclenché un flot de messages sur les réseaux sociaux. Certains y voient un acte militant, d’autres une simple déclaration d’amour à la Corse.

La France sous le charme… et en larmes

En moins de 24 heures, le clip a cumulé plus de 3 millions de vues sur YouTube. Sur Twitter, les hashtags #CorsuMezuMezu2 et #OdeALaCorse se hissent en tête des tendances.

Des anonymes racontent avoir “pleuré comme des enfants” en écoutant la chanson. D’autres évoquent des souvenirs de vacances, ou même des racines familiales oubliées. Un professeur d’histoire corse a salué “une œuvre qui répare une mémoire collective abîmée”.

Un impact au-delà de la musique

Ce qui frappe, c’est que le projet dépasse la simple performance musicale. Derrière chaque image, chaque note, se cache un manifeste culturel. La Corse y apparaît comme un territoire de beauté brute mais aussi comme un espace menacé par l’oubli et la mondialisation.

Certains analystes y voient même un coup de projecteur stratégique, à un moment où la question de l’autonomie corse revient dans le débat politique. Coïncidence ou calcul ? Les producteurs restent silencieux.

La renaissance d’une fierté

Pour les Corses, le clip est plus qu’une chanson : c’est une réaffirmation de leur identité. Dans les bars d’Ajaccio, les habitants discutent des paroles avec passion, certains les apprenant par cœur. Dans les écoles, des enseignants projettent la vidéo pour initier les enfants à la langue et à la culture locales.

Un habitant de Porto-Vecchio, ému, résume :

“On ne se sent plus seuls. Ce clip, c’est comme un drapeau qu’on brandit haut dans le ciel.”

Et maintenant ?

Le succès fulgurant de Corsu Mezu Mezu 2 laisse présager une tournée nationale. Les rumeurs parlent d’un concert géant à Bastia, retransmis en direct à la télévision.

Les producteurs, eux, entretiennent le mystère. Ils promettent d’autres clips, avec des histoires tout aussi fortes et peut-être encore plus personnelles.

Conclusion : un souffle qui réveille la France

Dans un paysage musical saturé de productions formatées, Corsu Mezu Mezu 2 réussit l’impossible : émouvoir, surprendre et faire réfléchir. Entre hommage et manifeste, la vidéo rappelle qu’une chanson peut être bien plus qu’un divertissement. Elle peut devenir un cri, un lien, une mémoire vivante.

Et si le public répond aussi massivement, c’est peut-être parce que, quelque part, chacun de nous porte en lui une “Corse oubliée” qui ne demande qu’à renaître.