Près de trente ans après le drame du pont de l’Alma, une théorie explosive refait surface : un expert royal affirme que Lady Diana aurait été éliminée car elle dérangeait la monarchie…

Le 31 août 1997 restera gravé dans toutes les mémoires. Cette nuit-là, la Mercedes de Lady Diana percute un pilier sous le pont de l’Alma à Paris. Malgré les efforts des secours, la princesse s’éteint quelques heures plus tard à seulement 36 ans.

Une disparition brutale qui plonge le monde entier dans la stupeur et laisse des millions de fans inconsolables. Mais très vite, derrière la tristesse, c’est la colère des admirateurs qui prend le dessus : beaucoup refusent la version officielle et imaginent des scénarios bien plus sombres.

Lady Diana, une “menace pour la monarchie” ?

Depuis ce soir tragique, les théories du complot se multiplient. Certaines paraissent farfelues, d’autres plus inquiétantes. Et elles n’ont jamais vraiment disparu. Aujourd’hui, près de trois décennies après le drame, un nouveau pavé est jeté dans la mare : Lady Diana aurait bel et bien été assassinée…

C’est Tom Sykes, spécialiste royal pour le Daily Beast, qui relance le débat. Selon lui, Lady Diana n’était pas seulement gênante : elle représentait un danger pour l’institution elle-même. “Elle incarnait une menace sérieuse pour la monarchie et l’establishment au sens large”, explique-t-il dans les colonnes de Gala. L’expert fait référence à une interview choc donnée par Lady Diana dans Panorama en 1996. La princesse y affirmait que Charles ne serait pas capable d’être roi. Un propos explosif qui, selon Tom Sykes, aurait précipité une décision radicale.

“Je pense effectivement qu’un groupe de personnes soucieux de protéger l’État a décidé d’agir. Ils ont été assez intelligents pour ne pas chercher à obtenir l’autorisation directe de Charles ou du prince consort Philip…”, avance-t-il. Pour le spécialiste, pas de place au doute : la mère du prince William et Harry devait être écartée. Et si cette hypothèse est terrifiante, elle est d’autant plus crédible, selon lui, que de nombreuses zones d’ombre entourent encore le drame du pont de l’Alma.

Des incohérences troublantes dans la mort de Lady Diana

Tom Sykes affirme avoir relevé plusieurs points suspects dans l’enquête. Parmi eux : la fameuse Fiat Uno blanche qui aurait percuté la voiture, mais longtemps ignorée par la police française, ou encore l’ambulance qui aurait mis un temps fou à arriver à l’hôpital. Sans oublier l’embaumement express du corps de Diana, décidé à la hâte.

Autre élément troublant : le test sanguin du chauffeur Henri Paul, jugé douteux. “C’est quand même incroyable : il est le conducteur de la voiture de l’accident le plus célèbre de l’Histoire, et la police britannique pense que son test sanguin a été falsifié, mais cela ne révolte personne”, s’indigne-t-il. Peu importe où la vérité se trouve, trente ans après la mort de Lady Diana, elle continue d’interroger le plus grand nombre.