À 82 Ans, Jacques Dutronc Sort Du Silence Sur Laeticia Hallyday !

Il m’a dit “Bon, je repars en tournée en 2018, tu viens avec moi Jaco.” Je dis “Bé bien sûr.” Dam il avait une patate, c’est incroyable quoi. Quel courage. Oh la vache ! À 82 ans, Jacques Dutron vient de révéler ce que personne n’osait dire. Le chanteur légendaire, connu pour son silence légendaire et sa discrétion absolue, a décidé de briser l’omerta.

Lui qui ne parle jamais, lui qui fuit les médias comme la peste, lui qui a toujours refusé de commenter la vie privée de ses amis, a lâché une bombe. Une révélation sur ce qui s’est vraiment passé lors de la dernière tournée des Vieilles Canailles en 2017. Cette tournée mythique avec Johnny Holiday et Eddie Mitchell qui devait être une fête et qui s’est transformée en cauchemar.

Jacques Duutron a décidé de tout raconter. les coulisses, les tensions, la dispute finale et au centre de tout ça, une femme, Latitia Holiday, la veuve du taulier, celle qui contrôlait tout, celle qui était présente partout, celle qui a fini par provoquer l’explosion finale. Ce que Duon révèle est explosif.

Le dernier soir à Carcasson, Eddie s’est engueulé avec Latitia. Du coup, après tout le monde est parti dans son coin. Une phrase courte, sèche, qui en dit long. Une enguelade si violente qu’elle a gâché la dernière soirée. Une dispute qui a brisé l’ambiance de cette tournée historique et Johnny, témoin de la scène en a été profondément affecté au point de confier à Duon qu’il ne referait plus jamais les vieilles canailles à trois.

Bon bah, on repart en tourné tous les deux Monjaco. Ces mots prononcés au bar de l’hôtel quelques heures après la dispute seraient les derniers que Johnny a dit sur le sujet. 5 mois plus tard, il était mort. Alors que s’est-il vraiment passé ce soir-là ? Pourquoi Latitia et Eddie Mitchel se sont-ils violemment opposés ? Et surtout, qu’est-ce que cette dispute révèle sur les tensions qui existaient déjà dans l’entourage de Johnny ? Ce que Jacques Duutron balance sur Latitia Holiday va bien au-delà d’une simple anecdote de tournée. Pour

comprendre la portée de ses révélations, il faut d’abord saisir ce que représentait la tournée des vieilles canailles pour Johnny Holiday. En mars 2017, le rocker reçoit un diagnostic terrible, un cancer du poumon. Le même qui a emporté sa mère Hugette Claire en 2007, Johnny encaisse le choc. Après des décennies d’excès, de cigarettes et de vie rock and roll, son corps le rattrape.

Les médecins sont clairs, la maladie est grave, il faut se battre, commencer un traitement lourd, se reposer, prendre soin de soi. Mais Johnny Holiday n’est pas un homme de repos. Il ne sait pas ce que signifie ralentir. Sa vie c’est la scène. Et justement une tournée est programmée. Les vieilles canailles avec ses deux frères de cœur Eddie Mitchell et Jacques Duutron.

10 date à travers la France du 10 juin au 5 juillet. Des concerts qui affichent complets depuis des mois. Des dizaines de milliers de fans qui attendent de voir ces trois légendes réunies une dernière fois. Latitia, son épouse est contre. Absolument contre. Elle pense que c’est suicidaire. Johnny est affaibli par la maladie. Il commence à peine son traitement.

Les chimiothérapies le vidant de son énergie. Il a besoin d’une machine à oxygène. Un médecin lui fait des piqures dans le ventre avant chaque concert. Comment peut-il monter sur scène dans cet état ? C’est de la folie. Latitia le supplie d’annuler, de reporter, d’attendre d’aller mieux. Moi, je ne voulais pas qu’il la fasse.

J’avais peur pour lui. Je disais que c’était suicidaire, confier-t-elle plus tard à Europ. Mais Johnny refuse d’annuler. Il regarde Latitia droit dans les yeux et lui dit une phrase qui va la marquer à jamais. Si je ne la fais pas, je meurs. Pour Johnny, la scène n’est pas juste un métier. C’est sa raison de vivre.

C’est ce qui le maintient debout. Sans la scène, il n’est plus rien. Il n’est plus Johnny. Alors, il décide de partir en tournée, même malade, même affaibli, même au risque d’y laisser sa peau. Et Latitia, malgré ses peurs, accepte de le suivre, de l’accompagner, d’être là pour lui.

Ça a été sa survie, la tournée des vieilles canailles dira-t-elle. Le 10 juin 2017, à Lille, les vieilles Canailles donnent leur premier concert. Johnny monte sur scène avec son oxygène en coulisse, ses piqû dans le ventre, sa douleur qu’il cache sous les projecteurs. Et là, miracle, quand il entend les premiers accords, quand il sent l’énergie du public, quand il voit Eddie et Jacques à ses côtés, Johnny se transforme.

Le guerrier ressort, le soldat reprend du service. Sur scène, on ne voit rien, on ne devine rien de la maladie. Johnny chante, danse, sourit. Il est Johnny Holiday, l’idole des jeunes, le taolier. Personne ne peut imaginer qu’il se bat contre un cancer qui le ronge de l’intérieur. Mais en coulisse, c’est une autre histoire. Latitia est là constamment.

Elle surveille, elle s’inquiète, elle vérifie qu’il prend ses médicaments, qu’il se repose entre les morceaux, qu’il ne force pas trop. Elle est présente dans les loges, dans le bus de tournée, à l’hôtel, partout. Certains membres de l’équipe apprécient sa vigilance. D’autres trouvent qu’elle en fait trop, qu’elle étouffe Johnny, qu’elle contrôle tout.

Les tensions commencent à monter discrètement d’abord puis de plus en plus ouvertement. Eddie Mitchell en particulier supporte mal cette omniprésence. Lui et Johnny sont amis depuis les années 60, plus de 50 ans de complicité. Ils ont tout vécu ensemble. Les débuts du rock en France, les tournées, les excès, les femmes, les réussites, les échecs.

Eddie connaît Johnny mieux que personne ou du moins, il pense le connaître et ce qu’il voit pendant cette tournée le met mal à l’aise. Johnny entouré, surprotégé, presque étouffé par Latitia et son équipe. Eddie voudrait passer du temps seul avec son ami, discuter comme avant, rire comme avant. Mais Latitia est toujours là entre eux.

Les semaines passent, les concerts s’enchaînent. Lille, Marseille, Strasbourg, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Paris. À chaque date, Johnny donne tout. À chaque fois, il épuise ses dernières réserves et à chaque fois Latitia est là pour le rattraper. Le 24 juin, lors du concert à l’Accord Hôels Arena de Paris, diffusé en direct sur TF1, Latitia accorde une interview à Nico Saliagas quelques minutes avant le show.

Elle était mue aux larmes. C’était un surhomme. Il fallait voir le courage qu’il avait à travers cette maladie. Il a un médecin qui lui fait des piqures dans le ventre. Il y a une machine à oxygène et il va sur scène comme un guerrier, un soldat ne pas lâcher, ne pas montrer. Mais malgré ce courage, malgré cette volonté de faire, Johnny s’épuise physiquement, mentalement et l’ambiance dans le groupe se dégrade.

Les nom dit s’accumulent, les frustrations grandissent. Eddie Mitchel, Jacques Dutron, l’équipe technique, tous sentent que quelque chose ne tourne pas rond mais personne n’ose vraiment en parler. Par respect pour Johnny, par peur de le blesser, alors tout le monde fait semblant jusqu’au dernier soir, le 5 juillet 2017, Carcasson, théâtre Jean deschamps.

Le dernier concert de la tournée, le tout dernier concert de Johnny Holiday. Personne ne le sait encore ce soir-là, mais c’est la dernière fois que le tolier montera sur scène, la dernière fois qu’il chantera devant son public, la dernière fois qu’il sera Johnny. Le concert se passe plutôt bien. Malgré la fatigue, malgré la maladie, Johnny assure, il s’assoit plus souvent que d’habitude.

Johnny n’était pas comme d’habitude. Il s’asseyait souvent, mais on aurait pas dit non plus qu’il subissait des séances de chimiothérapie, racontera un témoin. Le public ne voit rien. Il applaudit, il chante, il vibre. C’est une soirée magique. Une dernière communion entre Johnny et ses fans. Mais après le concert, tout bascule.

Ce qui se passe exactement reste flou. Du tron n’entre pas dans les détails. Il ne révèle pas le sujet de la dispute, mais le fait est là. Eddie Mitchell et Latitia Holiday ont une violente engueulade. Les mots fusent, les reproches éclatent. Peut-être Eddie reproche-t-il à Latitia son omniprésence étouffante.

Peut-être Latitia reproche-t-elle à Eddie de ne pas comprendre à quel point Johnny est fragile ? Peut-être que c’est un vieux conflit qui ressurgit ou peut-être que c’est la fatigue accumulée pendant des semaines qui explose soudainement. Quoi qu’il en soit, la dispute est assez grave pour que tout le monde parte dans son coin. L’ambiance est plombée.

Cette dernière soirée qui devait être une fête, un moment de célébration se transforme en désastre. Au lieu de trinquer ensemble, de se remémorer les bons moments, de se dire au revoir dignement, chacun s’isole. Edie Mitchel fil en douce sans dire au revoir à personne. Johnny est profondément blessé par cette disparition.

Il se sent abandonné par son vieil ami. Eddie aurait dû rester. Ils auraient dû finir la tournée ensemble tous les trois comme il l’avait commencé. Mais non, la dispute avec la titia a tout gâché. Et puis Thomas, le fils de Jacques du tron, vient voir son père. Johnny est au bar, tu dois y aller. Du tron descend. Il trouve Johnny seul.

Un verre à la main, le regard dans le vide. L’homme le plus célèbre de France, entouré de millions de fans et seul au bar d’un hôtel. La solitude du rockur, cette solitude dont il parlait souvent. Dans la vie, on est toujours seul, avait-il confié à Pascal Obispo. Ce soir là à Carcasson, Johnny ressent cette solitude plus que jamais.

Quand il voit Duuton arriver, Johnny lève les yeux et là, il lâche cette phrase : “Bon bah, on repart en tournée tous les deux.” Mon Jaco, pas les trois vieilles canailles, juste tous les deux. Johnny et Jacques, sans Eddie. La phrase dit tout. Johnny sait que quelque chose s’est brisé ce soir-là.

que la magie des vieilles canailles ne pourra plus jamais fonctionner. La dispute entre Eddie et Latitia a créé une fracture irréparable. Alors Johnny imagine déjà autre chose. Une tournée à deux. Juste lui et Jaco. Comme au bon vieux temps. Mais cette tournée ne se fera jamais. 5 mois plus tard, le 5 décembre 2017, Johnny Holiday s’éteint dans sa résidence de Marne la coquette. Le cancer a gagné.

Le guerrier a perdu son dernier combat et cette soirée à Carcasson reste comme la dernière image publique de Johnny, sa dernière performance, son dernier adieu. Mais au lieu d’être un moment de joie et de communion, elle est marquée par une dispute, une ambiance pourrie, une fin gâchée. Quand Jacques Duutron raconte cette anecdote à Paris Match en février 2020, plus de 2 ans après la mort de Johnny, il le fait avec une certaine tristesse.

Ce n’est pas de la méchanceté, ce n’est pas pour régler des comptes. Juste la vérité, une vérité qui dérange parce qu’elle montre que même dans les derniers moments de Johnny, les tensions existaient, que l’entourage était déjà divisé, que la guerre qui allait éclater après sa mort couvait depuis longtemps.

Cette révélation de Duutron prend tout son sens quand on la met en perspective avec ce qui s’est passé après. Quelques semaines après la mort de Johnny, le testament explose dans les médias. David et Laura sont totalement exclus de l’héritage. Edie Mitchell affirme publiquement qu’il ne comprend pas ce choix. Il sous-entend que Johnny a été manipulé.

Jean-Marie Perrier dit que Johnny n’aurait jamais déshérité ses enfants. Sylvie Vartan refuse de prononcer le nom de Latitia. Pascal Obispo parle de Johnny gouroutisé dans ces derniers mois. Tous racontent la même histoire. Un isolement progressif, un contrôle total de Latitia sur l’entourage de Johnny, des amis écartés, des appels sans réponse, un mur construit autour du rockur et cette engueulade à Carcasson s’inscrit parfaitement dans ce récit.

Eddie Mitchell qui explose contre Latitia, c’est peut-être le symptôme d’une frustration accumulée pendant des mois voire des années. Eddie qui voit son ami Johnny entouré, contrôlé, étouffé. Eddie qui n’en peut plus de cette omniprésence. Eddie qui craque finalement le dernier soir de la tournée et Latitia qui se défend qui estime qu’elle fait ce qui est juste pour son mari malade.

Deux vision qui s’oppos deux légitimités qui se heurent et au milieu Johnny qui subit les conséquences de cette guerre. Certaines rumeurs jamais confirmées officiellement circulent dans le milieu sur la nature exacte de cette dispute. Selon certains témoins indirects, Eddie Mitchell aurait reproché à Latitia d’isoler Johnny de ses vieux amis.

Il aurait voulu passer du temps seul avec le rockur discuter en privé comme il l’avait toujours fait. Mais Latitia aurait refusé, estimant que Johnny était trop fatigué, qu’il avait besoin de se reposer. Eddie aurait perçu ça comme une volonté de contrôle, une façon de le tenir à distance et ça aurait dégénéré.

Ce ne sont que des rumeurs. Du tron n’a jamais confirmé ses détails, mais elles circulent et elles correspondent au récit général de l’isolement de Johnny. D’autres rumeurs évoquent des tensions liées à l’organisation de la tournée elle-même. Latitia aurait voulu imposer certaines décisions, modifier le planning, changer des choses dans le déroulement des concerts.

Eddie et Jacques, habitués à gérer les vieilles canailles d’une certaine manière, auraient mal vécu ses interventions. Ils auraient eu l’impression que Latitia se mêlait de ceux qui ne la regardaient pas. Encore une fois, ce ne sont que des bruits de couloir, rien de confirmé, mais ils alimentent l’idée que les tensions n’ont pas surgi de nulle part ce soir là à Carcasson.

Ce qui est certain, c’est que cette engueulade a profondément affecté Johnny. Du tron le dit clairement. Johnny était triste, désabusé. Il avait voulu terminer cette tournée en beauté avec ses deux meilleurs amis et au lieu de ça, tout se finissait dans la confusion et l’amertume. Sa phrase à du tron au bar de l’hôtel raisonne comme un aveu d’échec.

On repart en tournée tous les deux. Johnny a compris que les vieilles canailles c’était fini, qu’il ne pourrait plus jamais réunir ses deux amis, que quelque chose s’était cassé définitivement. Et le fait que Eddie Mitchell soit parti sans dire au revoir a particulièrement blessé Johnny. Selon Paris Match, le tolier était peiné à cause du manque de compassion et d’empathie dont avait fait preuve son vieil ami. Eddie aurait dû rester.

Il aurait dû mettre sa fierté de côté. Il aurait dû comprendre que c’était peut-être la dernière fois qu’il se voyait, mais il est parti et Johnny lui en a voulu, même si Eddie, de son côté estimait probablement avoir de bonnes raisons d’agir ainsi. Cette histoire révèle quelque chose de fondamental sur les derniers mois de Johnny.

Le rockur était pris entre deux feux. D’un côté, Latitia qui voulait le protéger, le préserver, le garder pour elle et leur fille. De l’autre, ses vieux amis qui voulaient profiter de lui, passer du temps avec lui, le voir sans filtre. Deux amours, deux fidélités, de légitimité et Johnny au milieu tiraillé, incapable de contenter tout le monde.

Alors, il a fini par perdre tout le monde. Ses amis se sont éloignés. Latitia est devenu l’ennemi public numéro 1 après sa mort. Et lui, il est parti en laissant derrière lui un champ de ruine. Jacques Duutron, en racontant cette anecdote, ne cherche pas à accabler Latitia. Il constate juste les faits. Une enguelade a eu lieu.

L’ambiance a été plombée. Johnny en a souffert. C’est tout. Du tron ne dit pas que Latitia avait tort. Il ne dit pas qu’Edie avait raison. Il raconte juste ce qui s’est passé avec sa nonchalance habituelle, sans jugement, sans prendre partie. C’est peut-être ça qui rend son témoignage si puissant.

Il n’y a pas de colère, pas de rancœur, juste une tristesse face à ce gâi. Aujourd’hui, à 82 ans, Jacques Dutron vit retirer. Il a perdu François Hardardi en 2024 après des décennies de vie communes chaotiques mais sincères. Il pleure encore Johnny. Il n’y a pas une journée qui passe sans qu’il pense à lui et cette soirée à Carcasson reste probablement l’un de ses plus mauvais souvenirs.

Pas à cause de la dispute elle-même, mais à cause de ce qu’elle symbolise la fin d’une époque, la fin d’une amitié de 50 ans, la dernière fois qu’il a vu Johnny vivant et libre. Alors oui, à 77 ans, en 2020, quand il a fait ses déclarations, Jacques Duon est sorti du silence sur Letitia Holiday. pas frontalement, pas avec violence, mais en racontant une vérité qui dérange, cette engueulade à carcasson, cette ambiance pourrie, ce dernier soir gâché.

Et à travers ce récit, c’est toute une histoire qui se dessine, celle d’un homme malade pris en otage entre sa femme protectrice et ses amis frustrés d’une tournée qui aurait dû être une fête et qui s’est terminée en drame, celle d’une famille qui s’est déchirée avant même la mort de celui qui la tenait unie.

Jacques Duutron n’accuse personne, mais son témoignage en dit long. beaucoup plus que n’importe quelle accusation frontale parce que la vérité parfois est bien plus puissante que tous les procès d’intention.