À 49 ans, Maxime Chattam brise le silence sur la femme qu’il méprise le plus.
canapé rouge. J’ai également présenté des émissions avec Patrick Sébastien. Donc j’ai un peu l’impression de revenir à la maison. Donc on va dire que je me sens déjà un petit peu comme chez Maxime Chatam. Le cri du silence brisé. La confession d’un homme consumé par le mépris. C’est une onde choc qui traverse la France littéraire.
Maxime Chatam, le maître incontesté du roman noir. L’écrivain des ténèbres et des secrets murmuré à voix basse vient de briser son propre silence. Lui, l’homme discret, mesuré, presque astique dans sa manière d’habiter le monde, a lâché une bombe. Une confession brutale, tranchante comme la lame d’un de ses thrillers, dirigé non pas contre un personnage imaginaire, mais contre une femme bien réelle, une femme qui, selon ses mots, a détruit tout ce qu’elle touchait.
Ce nom, il ne le prononce pas mais tout le monde dans le microcosme littéraire croit savoir de qui il s’agit. Une femme autrefois au centre de son univers, son négérie silencieuse, celle qui aurait inspiré certaines des héroïnes les plus tourmentées de ces romans. Aujourd’hui, cette mus d’hier devient sous la plume et la voix de l’écrivain, l’incarnation de la trahison, du mensonge et de la douleur.
Il y a des âmes qui empoisonnent tout même la beauté, aurait-il confié dans un entretien d’une intensité rare où chaque mot semblait trembler sous le poids d’années de rancune contenu. Le public stupéfait n’en revient pas. Les fans qui voyaient en lui un homme de mystère et de pudeur découvrent un visage ravagé par le dégoût et la désillusion.
Sur les réseaux, les réactions se multiplient. Chat âme en colère, impossible, il parle comme un homme blessé, pas comme un écrivain. Certains saluent le courage de l’auteur d’exposer sa vérité. D’autres plus sceptiques y voit une mise en scène, un geste désespéré pour exorciser ses propres fantômes. Mais derrière cette explosion médiatique, c’est un être humain qu’on devine au bord du gouffre.

Maxime Chatam n’écrit plus pour fasciner, il écrit pour survivre. Sa voix habituellement feutré s’est changé en cri et ce cri, personne ne l’avait vu venir. Un cri contre l’amour, contre la trahison, contre lui-même. Le cri d’un homme qui pour la première fois se montre nu face à ses démons. La France retient son souffle.
Les mots de Chatam, plus noirs que jamais, raisonnent comme un verdict. Même les génies ont des plais qu’aucune fiction ne peut guérir. Tout a commencé un soir d’automne à Paris dans le cadre feutré d’une émission littéraire en direct sur France I Maxime Chatam, invité pour parler de son nouveau roman, a soudain pris une direction inattendue sans prévenir personne.
Le décor était paisible. Les lumières tamisées, le ton convenu mais son visage fermé, ses mains tremblantes et son regard fixe laissait deviner qu’il portait un fardeau trop lourd pour continuer à le taire. Il n’a pas lu de passage de son livre. Il a simplement dit d’une voix calme, presque glaciale, je ne peux plus continuer à écrire dans le mensonge.
Il y a une femme dans mon passé qui a souillé tout ce que j’étais. Tout est parti de là. La salle est restée muette. Les journalistes médusés ne savaient s’il s’agissait d’une métaphore ou d’un règlement de contréelle. Mais lui poursuivait implacable. Cette femme m’a détruit. Elle a pris mes mots, mes émotions et les a retourné contre moi.
Elle a fait de ma sensibilité une arme pour me réduire au silence. J’ai gardé la tête haute pendant des années par respect pour mes lecteurs, mais aujourd’hui, je veux que la vérité sorte. La femme dont il parlait sans la nommer n’était autre que celle qui partagea sa vie pendant plusieurs années une figure connue du milieu artistique et littéraire française, reconnue pour sa beauté froide et son intelligence tranchante.
Une femme qui avait inspiré certains personnages féminins sombres de ses romans à succès. On parle d’elle comme d’une ancienne actrice reconvertie en critique culturelle proche de nombreux auteurs influents. Leur histoire avait commencé dans la passion et la fascination intellectuelle mais c’était terminé dans un chaos silencieux.
des manipulations, des trahisons, des mensonges que Thatam avait longtemps dissimulé derrière son calme légendaire. Dans son aveu, il ne cherche pas à se victimiser. Il décrit froidement la descente vers le mépris absolu. Elle m’a appris le goût amer de la confiance perdue dit : “Il j’ai vu le mal sous le masque de la douceur. Ce n’était plus de la douleur, c’était de la pourriture qui se propageait dans mon art, dans mon âme.
Je l’ai haï non pas pour ce qu’elle m’a fait, mais pour ce qu’elle m’a fait devenir. Le ton de sa voix n’avait rien. D’un cri, c’était une confession clinique, un autopsie émotionnelle prononcée avec une précision chirurgicale. Dès le lendemain, les extraits de l’émission se sont répandus sur toutes les plateformes.
Les réseaux sociaux se sont enflammés. Les mots de Chatam cités hors contexte ont fait trembler le monde de l’édition. Les titres des journaux s’entrechoquaient. Maxime Chatam règle ses comptes. Maxime Chatam brise le tabou. Maxime Chatam déverse sa haine. L’onde de choc fut immédiate. Des éditeurs évoquaient déjà une rupture d’images irréversible.
Des libraires refusaient de commenter. Des lecteurs parlaient de trahison d’autres. Au contraire, il voyait un acte de courage presque mystique. Dans les cafés littéraires de Saint-Germain, on commentait chaque phrase analysant les gestes, les silence, les regards. Ce n’était plus un auteur, c’était un symbole en train de s’effondrer devant tout un pays.
Ses proches amis écrivains, certains visiblement pris de couraient de tempérer mais les dégâts étaient fait. Les mots de Chatam raisonnaient comme un coup de tonner dans un ciel trop calme. Plusieurs sources proches de l’auteur racontent qu’il préparait cette confession depuis des mois, épuisée par les non dit, les rumeurs et les souvenirs qui le hantaient.

Chaque roman qu’il écrivait semblait raviver les blessures anciennes. Les scènes de trahison dans ces livres étaient autant de miroirs d’une histoire personnelle qu’il n’avait jamais assumé jusqu’à cette nuit d’automne où il a choisi de tout dévoiler. Son éditeur principal Galimar aurait tenté de le dissuader en vain.
Il aurait répondu d’une voix ferme : “Je préfère être détesté pour ma vérité que vénérer pour mon mensonge.” Dans les jours qui suivirent, il se retira de la vie publique, laissant derrière lui un chaos médiatique sans précédent. Les journalistes traquaient la mystérieuse femme qu’il avait évoqué. Les spéculations à bon train.
Certains affirmants reconnaîtrent des détails d’elle dans des passages précis de son roman L’appel du néant où l’héroïne trahit le narrateur en exploitant ses secrets pour nourrir sa propre gloire. D’autres rappelaient des interviews anciennes où il évoquait discrètement une relation toxique jamais nommée. On redécouvrit des photos d’eux ensemble lors de festivals littéraires.
Leur regard tendus, leur sourire figé. Les signes étaient là depuis longtemps, mais personne ne voulait les voir. Aujourd’hui, la France entière en parlait. Ce n’était plus de la littérature, c’était de la chair et du sang. À mesure que les jours passaient, la confession prenait des allures de tragédie moderne. Des fans se rendèrent devant sa maison en banlieu parisienne, déposant des lettres des messages de soutien.
Des opposants criaient à la manipulation médiatique. Des journalistes fouillaient dans son passé. Les plateaux télés emparent chacun, y voyant le reflet d’une époque où la frontière entre l’art et la vie s’est effacé. Maxime, Chatam devenait, malgré lui, le visage d’un mal contemporain, celui des émotions publiques exhibé jusqu’à l’épuisement.
Et lui, silencieux, enfermé dans son bureau à Saint-Leu, la forêt continuait d’écrire des phrases zchées, nerveuse comme des éclats de verre. On dit qu’il travaille sur un texte intime presque testamentaire où il ne sera plus question de crime imaginaire, mais d’un seul crime réel, celui d’avoir aimé trop fort un être qui ne le méritait pas.
Les derniers homés qu’il a publié sur ses réseaux avant de disparaître raisonnent comme un adieu. Je n’ai plus peur de l’ombre. Maintenant, je la regarde en face. Les ténèbres ne sont pas dans mes livres. Elles étaient en elle et désormais elles sont en moi. Ces mots terribles ont glacé ses lecteurs unis entre fascination et effroid.
Maxime Chatam n’est plus seulement un auteur. Il est devenu son propre personnage perdu dans le labyrinthe qu’il a lui-même construit et dont il ne semble plus vouloir sortir. Depuis cette nuit-là, rien n’a plus été pareil dans le monde feutré des lettres françaises. Les mots de Maxime Chatam continuent de flotter dans l’air comme une cendre qui refuse de retomber.
Les plateaux téléschaînent. Les chroniqueurs discertent, les experts en communication littéraire s’arrache les cheveux pour comprendre ce geste insensé. Comment ? Un écrivain aussi calculé, aussi méticuleux dans la gestion de son image a-t-il pu tout renverser en quelques phrases ? Mais c’est justement là que réside la force du choc.
Ce n’est pas un coup de pub, c’est un cri d’âme, un aveu d’épuisement total. Un proche de l’auteur, confi, souscouvert d’anonymat. Il vivait dans une tension constante entre l’homme qu’il est et le mythe qu’il a créé. Le masque a fini par se fissurer. Cette femme qui l’évoque, il l’aimait d’une manière presque maladive.
Il l’a idéalisé puis détesté avec la même intensité. On dit qu’elle l’aurait quitté pour un autre écrivain plus jeune, plus brillant aux yeux du milieu. Une trahison qui aurait laissé en lui une plie jamais refermée. Pendant des années, il a transposé cette douleur dans ses personnages féminins. Ambigu, forte en apparence mais rongée par par la duplicité.
Aujourd’hui, il a simplement cessé de se cacher. L’un des passages les plus commentés de son interview reste cette phrase glaciale : “Elle n’a pas trahi un homme. Elle a trahi une humanité entière. Cette déclaration, sans nom ni contexte a suffi à déclencher une chasse à la vérité. Les tabloïdes se sont jetés sur l’affaire.
Les photographes traquent la supposée muse. Les réseaux sociaux débordent de spéculation et de jugement. Certains voient dans ces mots un acte d’art pur, d’autres une vengeance personnelle. Il y a ceux qui critent au génie et ceux qui dénoncent la cruauté médiatique. Les éditoriaux du Figaro de Libération et de Paris. Match s’oppose violemment.
L’un parle d’une catarcisse nécessaire, l’autre d’une chute irrémédiable. Dans les coulisses de Galimar, les tensions sont palpables. Les ventes, Mimizacond, ces livres explosent paradoxalement. Les librairies se vident dans quelques heures de ces romans alors même que son image se noircit. À vue d’œil, l’homme qu’on surnommait le chirurgien des âmes sombres.
devient l’objet d’une autopsie publique. Un écrivain qu’on croyait mettre de ses ombres pris à son propre piège. Les témoignages afflu de ceux qui l’ont connu. Ceux qui évoquent un perfectionniste obsessionnel. Un solitaire hanté par l’idée de loyauté d’autres rappellent son regard vide au lendemain d’une séparation houleuse. Dans son cercle privé, certains affirment qu’il s’était déjà isolé bien avant la confession, que ces nuits étaient les peuplées d’insomnie, qu’il parlait de ses manuscrits comme d’armes contre le mensonge.
L’interview n’aurait été que l’aboutissement d’une longue dérive intérieure. La presse publie alors une série de photos de lui prises à la sortie de son domicile capuche rabattu sur la tête, trait, tiré, regard fuyant, il ressemble à un fantôme errant dans la lumière crue d’un scandale qu’il a lui-même déclenché.
On dit qu’il aurait refusé toute sollicitation médiatique supplémentaire qu’il ne répond plus à ses éditeurs ni à ses amis. Seul un communiqué bref a été publié sur ces réseaux. Je n’ai dénoncé personne. J’ai simplement cessé de mentir. Ces mots ont suffi à relancer le feu que tout le monde prétendait vouloir éteindre.
Sous le vacarme médiatique, la vérité semble se dissoudre dans la rumeur. Mais un élément a ravivé l’incendie quelques jours plus tard. Un extrait inédit de son carnet personnel. retrouvé dans une interview inachevée a été divulguée par un ancien collaborateur. On y lit cette phrase déchirante. Je l’aimais comme on aime un poison. Je savais que j’allais mourir mais je continuais à boire.
L’image a frappé les esprits. Elle résume tout le drame, la dépendance affective, la lucidité, la fatalité. La femme qui l’accuse sans la nommer devient une ombre universelle, celle de la trahison. que chacun reconnaît quelque part en soi alors que la tempête continue de gronder. Certains intellectuels osent défendre Tatam affirmant qu’il vient de redonner à la littérature française sa dimension la plus brute, celle de l’émotion avf de la vérité sans phare.
D’autres dénoncent un spectacle morbide, une exploitation du trauma pour vendre du papier et des clics. Le pays se divise comme lors d’une affaire d’état. Les plateaux télés ne parlent plus que de lui. Les magazines rivalisent de titres outranciers. Maxime Chatam, la chute d’un dieu, les ténèbres du génie, le bourreau et la victime.

À mesure que les jours passent, l’homme se mure dans le silence. Plus personne ne sait où il se trouve. Certains affirment qu’il s’est réfugié en Normandie, d’autres qu’il a quitté la France. Les rares personnes à lui avoir parlé disent qu’il écrit encore frénétiquement un texte d’une noireceur absolue, une confession finale qui pourrait tout emporter.
Le monde des lettres retient son souffle. La fiction et la réalité se sont mêlé jusqu’à se confondre. Maxime Chatam est devenu son propre roman, un thriller sans fin où la victime et le coupable portent le même nom. et où le lecteur ne sait plus s’il doit compatir ou trembler. Les semaines ont passé, mais le tumulte ne faiblit pas.
Chaque jour apporte une nouvelle rumeur, un nouveau fragment d’histoire, un nouveau témoignage sorti de l’ombre. On ne parle plus d’un simple écrivain, on parle d’un phénomène culturel, d’une fracture ouverte dans la psychée littéraire française. L’affaire Chatam, comme on l’appelle désormais, est partout dans les journaux, les talk shows, les podcasts, les colonnes des critiques.
On décortique ses phrases comme des aveux codés. On analyse ses silences comme des cris étouffés. Il est devenu, malgré lui, une obsession nationale, une énigme vivante que chacun tente de résoudre selon sa propre vérité. On raconte qu’il aurait été aperçu à Doville, seul marchant sur la plage, sous la pluie, le visage mangé par le vent.
Ses proches parlent d’un homme méconnaissable qui ne supporte plus ni la lumière ni le bruit des gens. Son téléphone reste éteint. sa boîte mail saturée de messages d’admirateurs et de menaces. L’atmosphère autour de lui est celle d’une tragédie antique, lente, implacable et fascinante. Les médias ont commencé à exumer d’anciennes interviews, à relire ces romans à la lumière de cette confession soudaine dans chacun de ces livres.
Désormais, on croit percevoir un indice, une cicatrice, un écho de cette femme mystérieuse. Certains critiques affirment qu’elle serait le modèle de l’héroïne de l’éviathan, d’autres qu’elle hte les pages de l’appel du néant comme un fantôme masqué. La frontière entre fiction et réalité s’est dissoute. Brouillard d’interprétation obsessionnell.
Les plus cyniques évoquent un coup de génie marketing. Les plus lucides parlent d’une autodestruction volontaire. D’après une source interne à sa maison d’édition, Chatam aurait refusé toute tentative de contrôle, d’image ou de communication. Il aurait dit simplement “Je n’ai plus rien à sauver. Quand un homme n’a plus peur de sa ruine, il devient libre.
Ces mots froids raisonnent comme un manifeste désespéré dans une époque obsédée par la façade. L’audience de ces réseaux continue de grimper chaque jour des milliers de lecteurs redécouvrent ses anciens romans comme s’ils y cherchaient un code secret, une confession anticipée. Dans les signatures de livres abandonnés dans les vitrines, on dépose des fleurs, des lettres, des bougies.
Les fans pleurent l’écrivain qu’il croyaient connaître. Les autres se délectent du scandale et s’en nourrissent comme d’un feuilleton noir à ciel ouvert. Ce qui frappe, c’est la solitude absolue dans laquelle il semble sombrer. Lui qui abit des univers entiers de ténèbres imaginaires se retrouve prisonnier de sa propre obscurité.
Le malaise est partout palpable. Certains anciens amis prennent la parole avec prudence, évoquant un homme fatigué, instable, rongé par la culpabilité. D’autres plus proches encore confitent qu’il a toujours vécu avec un sentiment d’imposture qu’il écrivait pour conjurer la peur de disparaître que cette confession n’est pas une rupture mais l’aboutissement d’un lent effritement intérieur.
Dans un documentaire improvisé diffusé sur une chaîne culturelle, un critique résume la situation d’une phrase glaçante. Maxime Chatam a ouvert la cage de ses monstres mais il a oublié de s’enfuir avant qu’il ne sorte. Ce commentaire circule partout repris sur les réseaux imprimés sur des affiches collées sur les murs des librairies.
Il devient le symbole d’une époque où les héros tombent en direct et où la frontière entre génie et folie devient une ligne de plus en plus fine. Dans la nuit du scandale, une vidéo anonyme apparaît sur YouTube. On y voitam dans une lumière faible, écrivant sur une table encombrée de papiers froissés. Sa voix est à peine audible mais on l’entend murmurer.
J’ai voulu écrire pour guérir, j’ai écrit pour saigner. Ce court enregistrement d’une minute déclenche une nouvelle vague d’émotion et d’analyse. Certains y voient une mise en scène, d’autres une ultime tentative de parler au monde sans passer par les mots d’autrui. Les rédactions s’affolent, les forums s’embrasent.
Les fans pleurent à nouveau. Cette fois, la tragédie semble totale. La France littéraire n’a jamais rien connu de tel. Un écrivain adulé au sommet de sa gloire, s’effondrant publiquement sous le poids de son propre cœur, tout semble désormais suspendu à une question silencieuse que personne n’ose poser. Ce qu’il écrira ensuite, si toutefois il écrit encore, décidera du reste de son destin.
car il n’y a plus d’entre de plus de demi-tintes Maxime Chatam est désormais condamné à être ou bien un phnix renaissant de ses cendres ou bien un spectre perdu dans les ruines de ses mots. Les jours suivants plonge la France dans une attente fébrile comme si tout un pays retenait son souffle en espérant un signe de l’écrivain disparu.
Les rédactions ont les yeux rivés sur la moindre fuite, la moindre photo, la moindre rumeur. Les fans scrutent les moindres mouvements sur ses comptes officiels, cherchant une trace, un mot, un signal de vie, mais rien ne vient. Le silence s’épaissit étouffant comme un brouillard de plomb. Certains parlent d’une retraite volontaire, d’autres d’une dépression sévère.
Il se murmure qu’il aurait quitté la région parisienne pour se réfugier dans une vieille maison de campagne en Bretagne, un lieu battu par le vent et la mer, là où l’on entend plus que le cri des mouettes et la pluie contre les vitres. Dans les milieux littéraires, on s’agite, les éditeurs tentent de calmer les investisseurs.
Les attachés de presse multiplient les communiqués flous et les fans créent des groupes de soutien intitulés “Nous attendons” Maxime. On parle de lui comme d’un mythe, brisé mais toujours vivant, suspendu entre deux mondes, celui de la gloire et celui de la chute. Puis un matin, un journal publie ce que tout le monde redoutait et espérait à la fois un texte signé de sa main, une lettre ouverte intitulée simplement La fin du mensonge.
Il y raconte sans détour l’histoire de cette femme désormais clairement identifiée. Une critique littéraire influente qu’il avait rencontré lors d’un salon du livre à Lyon. 10x ans plus tôt, ils décrit leur première conversation comme une collision de deux esprits affamés de beauté et de douleur.
Il a voulu l’avoir aimé au point de perdre la raison et d’avoir écrit pour elle les pages les plus sombres de son œuvre. Il raconte comment elle s’est imissée dans son univers jusqu’à le vampiriser émotionnellement. Comment elle a utilisé ses confidences pour alimenter ses propres chroniques ? Comment leurs nuits de passion se sont transformées en guerre en guerre psychologique et comment elle a fini par livrer leur secret à un autre écrivain sous couvert d’analyse littéraire se fut dit-il.
Le point de non retour la trahison absolue, celle qui m’a dépouillé de ma voix et de ma foi écrit-il d’une plume fiévreuse. Ce passage glace le sang car on y sent la lucidité d’un homme au bord du gouffre mais encore debout. Il ajoute je ne cherche ni pardon ni vengeance. Je veux simplement que la vérité cesse de se cacher derrière la bienéance des salons.
L’effet est immédiat. Les médias explosent, la lettre est reprise. Mot pour mot sur toutes les chaînes, les plateaux de télévision s’enflamme. Les journalistes s’arrachent les médias les droits de reproduction. Les radios diffusent sa voix enregistrée dans une lecture poste de son texte. Le public oscile entre admiration et malaise.
Certains saluent la sincérité d’un artiste qui refuse de jouer la comédie. D’autres dénoncent Ty une cruauté impardonnable envers une femme qui désormais subit la fureur médiatique. Le nom de la critique circule sur les réseaux malgré les tentatives de censure. Sa réputation s’effondre en quelques heures.
Elle supprime ses comptes et disparaît à son tour, laissant derrière elle un sillage de scandale et de honte. Le duel silencieux entre les deux anciens amants devient une guerre de symboles. Lui, le créateur qui brûle son œuvre pour dire la vérité, elle l’amuse devenu monstre aux yeux du public. Ce face-face invisible hente la France culturelle pendant des semaines.
Des écrivains prennent partie des féministes, dénonce une manipulation des lecteurs, pleure un amour détruit par la lumière trop crue du réel. Chaque phrase de Chatam devient une arme, chaque mot une blessure réouverte. Son éditeur annonce la réédition spéciale de ces romans avec une préface inédite où il évoque la frontière entre fiction et aveu.
Les précommandes explosent tout en alimentant le malaise collectif. Plus personne ne sait s’il faut lire ses livres pour comprendre l’homme ou l’éviter pour ne pas se brûler à son feu. Ce que tous sentent pourtant, c’est que un chapitre irréversible vient de s’écrire dans l’histoire de la littérature française.
Maxime Chatam n’est plus seulement un auteur. Il est devenu une légende tragique, une figure d’autodestruction et de vérité nu. Son silence désormais raisonne plus fort que tous les cris et chacun pressant qu’il n’y aura pas de retour en arrière ni de rédemption possible. Le monstre et le génie ne font plus qu’un.
Et la France fascinée ne peut que regarder cet homme englouti par ses propres mots. Et tandis que le silence retombe comme une poussière d’ancre sur les ruines de sa confession, la légende de Maxime Chatam continue de brûler dans les esprits. On ne sait plus s’il reviendra ou s’il s’est déjà dissou dans ses propres ténèbres. Mais une chose est sûre, le mystère ne fait que commencer.
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