Alex Hugo : un épisode dans lequel Anne Charrier a particulièrement souffert… Elle explique pourquoi !

© François LEFEBVRE – FTV – DALVA

Le mardi 3 juin à 21h05, France 3 rediffuse un épisode d’Alex Hugo. L’occasion de revenir sur le drôle de tournage vécu par Anne Charrier, pas franchement fan de la montagne…

Ce mardi, Alex Hugo fera des siennes en mode rediffusion sur France 3. En effet, les aficionados de la série et autres curieux auront droit à l’épisode 3 de la saison 9, intitulé Cold case. Réalisé par Thierry Petit en 2023, ce volet donnera à voir Samuel Le Bihan, évidemment, mais aussi Mikaël Fitoussi, Fabien Baïardi ou encore Anne Charrier. Une dernière citée qui campera une flic venue de la capitale, Mathilde Laurent. Un sacré rôle pour une actrice pas très fan des tournages en haute montagne…

Un cadavre prisonnier d’un glacier ou le “cold case” d’Alex Hugo

Sacrée intrigue que celle de cet épisode baptisé Cold case… En effet, tout commence ici avec la découverte du cadavre d’une jeune femme dans un glacier. Il s’agit de celui d’Élodie Minier, disparue il y a 30 ans ! Un corps sans vie qui lâchera quelques indices, à commencer par une blessure mortelle infligée par balle et une lettre de son amie Mathilde Laurent, retrouvée sur elle par Alex Hugo. Une missive vraisemblablement écrite après une dispute et dont l’autrice, devenue inspectrice, débarquera dans les Alpes… Bien qu’assez éloignée d’Alex Hugo, elle tentera de l’aider à faire la lumière sur cette affaire comme aucune autre. Le passé d’Élodie, militante écologiste, pourrait bien être la clef d’un dossier complexe…

Anne Charrier : “J’ai le vertige et je déteste avoir froid”

Impeccable dans la peau de cette enquêtrice parisienne, Anne Charrier, récemment croisée dans la série L’éclipse, a révélé ne pas être franchement fan des intrigues en haute-montagne. En effet, chez Télé Star, l’actrice n’a pas fait dans la langue de bois, revenant sur un tournage assez compliqué : “Je n’ai pas la fascination des sports d’hiver. J’ai le vertige et je déteste avoir froid. Quand je me suis retrouvée dans les œufs (les télécabines, ndlr), je me suis vraiment demandé ce que je faisais là. Alors oui, dans une certaine mesure, ça m’a demandé une petite préparation psychologique, mais j’ai dit oui parce qu’aller dans des endroits symboliques ou physiques, c’est un challenge et c’est gratifiant, surtout quand c’est fini.”