SÉISME À BRUXELLES : Meloni annonce la sortie de l’Italie de l’UE et la fermeture des frontières ! L’Allemagne en plein chaos alors que l’AfD prend la tête

Italien: Giorgia Meloni bekennt sich zu Europa – und warnt vor EU als  Elitezirkel - DER SPIEGEL

Un coup de tonnerre vient de frapper le cœur de Bruxelles, et cette fois, ce n’est pas une métaphore. Giorgia Meloni, la Première ministre italienne à la ligne conservatrice dure, vient de secouer le continent. Dans une déclaration historique qui pourrait complètement remodeler l’Europe, elle a été claire : l’Italie se retire de l’Union Européenne et ferme toutes ses frontières.

Ce n’est pas une manœuvre politique anodine. C’est un séisme pour Bruxelles.

Meloni ne laisse planer aucun doute. Elle règle ses comptes avec l’Union Européenne, une entité qui, selon elle, est “de plus en plus condamnée à l’insignifiance géopolitique”. Selon elle, l’union est manifestement incapable de réagir aux plus grands défis actuels, qu’ils soient économiques, militaires ou politiques. Tandis que Bruxelles s’enlise dans des réunions sans fin pour débattre de détails bureaucratiques, la Chine et les États-Unis ont depuis longtemps surclassé l’Europe.

Meloni dit tout haut ce que beaucoup en Allemagne, la puissance économique du bloc, ne pensent que dans leur coin : l’UE a perdu ses racines. Elle a perdu son indépendance. Pas étonnant que l’Italie tire maintenant la sonnette d’alarme. Fini les compromis boiteux. Fini le paternalisme des bureaucrates de Bruxelles.

Mais cela ne s’arrête pas là. Meloni se voit comme une bâtisseuse de ponts, et ce pont s’étend au-delà de l’Atlantique. Dès le début du second mandat de Donald Trump, elle s’est rendue à Mar-a-Lago, s’est entretenue avec le président d’alors et a envoyé un signal clair : l’Italie ne s’oriente plus selon les vœux de la Commission européenne, mais selon la réalité et ses propres intérêts. “Nous devons cesser de placer les idéologies au-dessus des gens,” a-t-elle déclaré. “Nous devons agir de manière réaliste.”

Depuis octobre 2022, elle dirige une coalition de trois partis de droite et conservateurs. Déjà pendant sa campagne, elle avait montré qu’elle n’avait aucune envie de se plier aux illusions éternelles de l’UE. La position eurosceptique de l’Italie n’est plus un simple vœu pieux. Elle devient une réalité.

Et pendant que Meloni agit, que voyons-nous en Allemagne ? Le gouvernement du chancelier Merz et de la CDU tourne en rond, ignorant les problèmes qui brûlent juste devant leur porte.

L’ambiance en Allemagne est explosive. Selon un sondage Yugov, l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) devance pour la première fois l’Union CDU/CSU au pouvoir, atteignant un record de 27%. La CDU/CSU chute à 26%, le SPD à 15%, les Verts à 11% et Die Linke à 9%. Ces chiffres parlent d’eux-mêmes. Les citoyens en ont assez des fausses promesses et des expérimentations “woke”. Ils veulent la responsabilité nationale. Ils veulent la sécurité. Et ils veulent des politiciens qui agissent au lieu de se contenter de parler.

C’est exactement ce que fait Meloni. Et elle va encore plus loin.

Meloni gibt EU-Exit bekannt und schließt alle Grenzen!

Avec le Danemark et huit autres États de l’UE, elle lance une campagne politique contre la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). La migration doit être réglementée à nouveau. Les compétences nationales doivent être restaurées. Meloni accuse l’UE d’avoir interprété les conventions de manière trop large, paralysant ainsi les gouvernements démocratiquement élus. Le message est clair : l’Italie reprend sa souveraineté. L’UE s’est mise hors-jeu.

Nous ne parlons pas seulement de politique symbolique ici. Nous parlons de faits bruts.

En Allemagne, une entreprise de taille moyenne (Mittelstand) sur trois craint pour son existence. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, s’est fait avoir par Trump sur les accords commerciaux et les droits de douane. Le chancelier allemand Merz, qui devrait maintenant agir, ne fait rien. Les classes moyennes souffrent, et leur gouvernement ne fait que regarder.

Meloni montre comment agir de manière souveraine. L’Italie place les intérêts nationaux au-dessus des directives bureaucratiques de l’UE. Lorsque la Cour de justice européenne attaque son “modèle albanais” – un plan de traitement accéléré pour les migrants venant de pays sûrs – elle se défend. Elle accuse la justice de “revendiquer des compétences qui ne lui appartiennent pas”.

Son projet phare pourrait échouer, mais elle ne cède pas. Une déclaration claire : la souveraineté nationale prime sur l’arbitraire de Bruxelles. Elle résume la situation : “Des outils modernes pour des problèmes modernes.” Les règles doivent être adaptées pour relever les défis de notre temps, pas pour les abolir.

Meloni agit avec pragmatisme. Elle protège son pays, tandis que le gouvernement allemand continue d’injecter l’argent des contribuables dans des structures d’ONG qui propagent principalement des idéologies de gauche. Regardez ce chiffre : 192 millions d’euros par an pour des ONG de gauche qui cherchent à influencer l’opinion publique. Alice Weidel de l’AfD l’a critiqué à juste titre : Merz avait promis “La gauche, c’est fini”, mais sous son gouvernement, l’argent continue de couler.

Et ce n’est pas tout. Le nouveau gouvernement ne voit pas la nécessité de réformer. Tout reste comme avant. Le contrôle ? Absent. La responsabilité ? Absente. L’AfD est la seule force qui parle franchement. Pas étonnant que le parti monte dans les sondages. Dans le Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, il atteint 29%. En Saxe-Anhalt, 30%. Les citoyens sentent qui représente vraiment leurs intérêts et qui les trahit.

L’Europe est sur la touche. Le sommet entre Trump et Poutine en Alaska a été mis en scène pour montrer la force aux citoyens américains. Les chefs de gouvernement de l’UE étaient alignés comme des écoliers, écoutant sagement les monologues. Bruxelles est humiliée, pendant que l’Italie agit. L’Allemagne reste passive. La Hongrie bloque l’adhésion de l’Ukraine à l’UE. Trump appelle Orban. Mais notre gouvernement ne fait que regarder. Pas de contrepoids. Pas d’action souveraine. Juste de la vassalité.

EU-Gipfel: Giorgia Meloni kritisiert „Entscheidungen im Hinterzimmer“ | FAZ

Pendant ce temps, Meloni prend en main le destin de son pays. Elle protège les frontières, impose les intérêts nationaux. Et l’Allemagne ? Friedrich Merz continue de défendre les structures d’ONG “woke” qui dirigent notre opinion. 551 questions de la CDU lorsqu’elle était dans l’opposition ont été rejetées. L’AfD pose des questions similaires. Les réponses sont identiques à celles obtenues par Merz lorsqu’il était chef de l’opposition. Une continuité dans l’ignorance au lieu d’un changement de politique.

“Continuer comme avant” est la devise du nouveau gouvernement fédéral.

L’AfD dit : “Assez. Nous devons reprendre le contrôle de notre pays. De nos frontières. De notre économie. De notre sécurité.”

Meloni montre la voie. Intérêts nationaux. Règles claires. Pas d’idéologie au-dessus des gens et de la sécurité. L’Italie montre que l’on peut se défendre. Que l’on peut récupérer sa souveraineté. En Allemagne, nous avons encore trop de politiciens qui courbent l’échine devant les ONG de gauche et les bureaucrates de Bruxelles.

Meloni ouvre la marche. Nous devons suivre. Regardez les chiffres : l’AfD devance pour la première fois l’Union. Les citoyens veulent la souveraineté, le contrôle et la sécurité. Meloni agit. Nous devrions faire de même. Fermer les frontières. Assumer l’euroscepticisme. Protéger les intérêts nationaux. L’Europe est actuellement dominée par les États-Unis et la Chine. Notre gouvernement regarde. Meloni montre qu’il existe une autre voie. Pas de peur de Bruxelles. Pas de peur des tribunaux. Juste la responsabilité envers son propre pays. Les classes moyennes souffrent des droits de douane de l’UE. Le gouvernement l’ignore. L’Italie agit avec confiance, protège son économie.

Le message est clair : celui qui n’agit pas, perd. Et l’ambiance dans le pays continue de basculer. La confiance des citoyens dans le gouvernement est à un niveau historiquement bas. Dans le Brandebourg, l’AfD est à 34%, tandis que le SPD et la CDU sont loin derrière. Ces chiffres ne sont pas de simples fluctuations statistiques. Ils sont l’expression d’un mécontentement généralisé au sein de la population.

Les citoyens voient l’échec du gouvernement au quotidien : sécurité intérieure, migration, protection de la propriété, ordre social. Les infrastructures se dégradent, le réseau routier tombe en ruine, les écoles et les bâtiments publics ne sont pas entretenus. Pendant ce temps, des milliards d’argent public sont gaspillés dans des projets inefficaces et des mesures “alibis”. 500 milliards d’euros pour l’armée. 500 milliards d’euros pour les infrastructures. Pourtant, les routes restent délabrées, les voies ferrées dangereuses, et même les projets prêts à être construits sont reportés ou annulés.

Le gouvernement allemand gère l’argent comme un jeu, sans aucun résultat concret pour les citoyens. Pendant ce temps, la gauche pense à taxer encore plus : héritage, patrimoine, cotisations. La cible est toujours la même : ceux qui font tourner le pays.

La situation en Italie et en Allemagne n’est que la partie émergée de l’iceberg. Une réorganisation est en cours. La rébellion contre l’ordre bureaucratique et mondialisé a commencé. Elle a débuté avec le Brexit, a été alimentée par Trump, et est maintenant portée à un nouveau niveau par Meloni. La question n’est plus de savoir “si” l’UE survivra, mais “comment” elle le pourra alors que ses États membres clés décident que l’intérêt national vaut plus qu’un rêve collectif moribond.

Meloni a fait son pari. Elle parie qu’une Italie indépendante et souveraine, alliée à des puissances réalistes comme les États-Unis, sera plus forte que si elle reste enchaînée à un bloc en déclin. Et quand elle regarde l’Allemagne, un pays paralysé par les idéologies mêmes qu’elle combat, elle se dit probablement qu’elle a raison. La sortie de l’Italie a commencé.